‘Knight’ et autres joyaux ‘indie’ de 2018
Lady Bird / Chevalier / Prêtre
film indépendantde festival en festival jusqu’à sa première commerciale (si elle arrive), Il a passé une super année.
Des visions séminales dans la science-fiction aux films d’horreur se rapprochant de « galerie d’art », en passant par des portraits de condamnation sociopolitique ou des représentations intimes de la vie de famille, Ces extraits de films « indépendants » de 2018 vous épaterontBeaucoup d’entre eux élargiront la liste annuelle des meilleurs, et seuls quelques-uns se hisseront au premier plan de l’histoire du cinéma en tant que véritable « hit » du 7e art.
Ne manquez pas ces petits joyaux alternatifs. vous ne le regretterez pas.
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1 chevalier
Ce film de Chloé Zhao fait partie des meilleurs films de l’année (indé ou pas). Les critiques élogieuses ou les récompenses à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes en témoignent. Un film qui oscille entre réalité et fiction, nous racontant l’histoire d’un jeune passionné de rodéo qui, après un accident, ne peut plus continuer et doit se réinventer.
amant de 2 jours
Philippe Garrel a fait l’unanimité pour ce beau film en noir et blanc dans lequel une jeune femme rentre chez elle après une rupture douloureuse et découvre que son père a une nouvelle petite amie. Même âge que lui. Sous l’intrigue de cette comédie romantique « hollywoodienne », se cache une étude des émotions qui vous fera rejoindre les rangs des « Garrelians ».
3 Carmen et Lola
Les débuts d’Arantxa Echevarria ne pouvaient pas mieux tomber : elle a participé à la quinzaine des réalisateurs au dernier Festival de Cannes et a été l’une des nominées aux Oscars de l’Académie. Pas mal pour un film d’amour sur deux jeunes gitans et une cinéaste qui commence maintenant à développer tous ses talents.
4 Ce soir le lion s’est endormi
Le Japonais Nobuhiro Suwa a signé pour la production française, avec Jean-Pierre-Leaud (le garçon dans 400 coups) jouant un acteur dans la saga Twilight de sa carrière. Un film incroyablement délicieux et magique. Ceux qui parlent de tout, sans fanfares, mettent à l’écran les petites choses, les contradictions et les contrastes de la vie. magnifique.
5 Génétique
Excuses to « The Nun », peut-être le meilleur film d’horreur de l’année. Un film mystérieux, complexe et effrayant. Ari Aster a épargné – littéralement – le désir de représenter le pouvoir de l’hérédité, qui échappe à notre contrôle et nous est donné.
6 S’il vous plaît appelez-moi par votre nom
L’un des films « indie » les plus célèbres de l’année, à la fois pour sa saison de récompenses réussie (y compris les Oscars, où il a remporté le prix du meilleur scénario adapté) et la « manie » qu’il a créée autour de la pêche. Un adolescent et une vingtaine, sous le soleil du nord de l’Italie, se retrouvent par tous les moyens.
7 faim
Il n’y a pas de monstre plus affamé qu’un zombie. C’est pourquoi son appétit insatiable a donné le titre à ce petit film canadien réalisé par Robin Aubert, qui bouscule toutes les conventions du genre. Ce n’est pas The Walking Dead, mais sa version la plus sensible, empathique et conceptuelle. Un beau film, complexe et, bien sûr, plein de piqûres.
8 faire-part de mariage
Le film palestinien d’Annemarie Jacir est un savant mélange de drame et de comédie. Dans cette jolie histoire père-fils, un fils qui s’est enfui de chez lui revient et fait du porte-à-porte pour distribuer des invitations pour le mariage de sa sœur. C’est ce que la tradition exige. On découvre donc tout son ressentiment envers son père et à quel point ils s’aiment.
9 coccinelles
Un film iconique dans le genre connu sous le nom de « teen movies ». Saoirse Ronan se met dans la peau d’une adolescente rebelle, quelqu’un qui ne sait pas qui elle est ou veut être, qui se débat avec sa mère toute la journée sous la bannière de sa prétention de sécurité (Lao. Ree Metcalf). Gerwig a tout mis en œuvre et cela a très bien fonctionné.
10 projets en Floride
L’un des films les plus brillants de l’année, en grande partie grâce à un groupe d’enfants marchant autour de l’écran comme Pedro. Toutes les personnes qui n’ont pas les moyens d’acheter un billet vivent dans la banlieue de Disney World. Les marginalisés, ceux qui insistent sur n’importe quelle arnaque pour payer leur loyer, sont toujours entourés d’affaires louches. Cependant, il y a des enfants en première ligne, qui mangent des glaces et brûlent des maisons.
11 Nourriture occidentale
La délicatesse est une vertu. Valeska Grisebach l’a sous contrôle. Dans ce non-western, film politique sans poing, le cinéaste allemand dépeint le quotidien de quelques ouvriers d’une petite ville bulgare. Leur présence en tant qu’envahisseurs, ainsi que certains envahisseurs moins sensibles, déclenchera des conflits entre les habitants.
12 saisons de violence
Anxos Fazáns a signé ce petit film bouleversant, d’après le roman de Manuel Jabois, avec un naturel et une complexité enviables. Un protagoniste qui veut être écrivain mais n’arrive pas à faire ses premiers pas, et deux copains de lycée qui sont sur le point de changer d’attitude.
13 La mort de Staline
Quels étaient les jours qui ont précédé les funérailles de Joseph Staline ? C’est la question à laquelle répond le cinéaste Armando Iannucci, plein d’ironie et d’interprétation brillante. La comédie est là pour véhiculer une chronique historique qui consiste davantage à dépeindre une époque qu’à être fidèle aux livres.
14 Fiez-vous à Pete
Après The Weekend, il nous est apparu clairement qu’Andrew Haigh savait transformer de petits détails en grands concepts. Ici, un garçon (Charlie Plummer) se lance dans un voyage avec son cheval volé, ce n’est pas qu’une randonnée, et leur relation n’est pas seulement entre l’animal et son « propriétaire ». Un coup merveilleux pour l’Occident.
15 Ne laissez aucune trace
Il n’est pas (encore) sorti dans notre pays, donc raison de plus pour ne pas l’ignorer. La cinéaste Debra Granik a lancé la carrière de Jennifer Lawrence il y a quelques années avec le choquant « Winter’s Bone », et elle est de retour pour nous offrir un joyau « Indie » émotionnel. Ici, l’accent est mis sur la relation entre un père et sa fille vivant dans la forêt, qui se verront refuser le harcèlement des autorités qui vivent dans la nature.
16 Tuez Jésus
La Colombienne Laura Mora Ortega, dont le premier long métrage a remporté un Prix de la jeunesse au Festival de San Sebastian, montre que les jeunes sont les premiers touchés par son portrait impitoyable de la situation des ruraux. Film admirable sur une jeune femme témoin de l’assassinat de son père, les autorités de Medellin rechignent à s’attarder sur le sujet.
17 plus belles îles
Ana Asensio est allée à New York comme son protagoniste. Tenter sa chance, chercher la vie. Dans son film primé au SXSW, l’actrice jouée par Asensio se retrouve mêlée à un travail très louche qui est quelque peu emblématique de la situation désastreuse de nombreux artistes dans le monde contemporain.
18 garçons
Niñato n’est pas une insulte, mais un surnom pour le protagoniste de ce documentaire d’Adrián Orr, nominé pour le prix Feroz du meilleur documentaire. Un film d’observation sur le quotidien d’un père célibataire et de ses enfants. Il essaie de trouver une place dans le monde du rap pendant que ses enfants travaillent dur avec leurs devoirs chaque après-midi.
19 pur-sang
« Wicked teen noir conçu par le nouveau venu Cory Finley est hilarant et scandaleux, lyriquement captivant et scénique. » C’est ainsi qu’Antonio Trashorras le définit dans sa critique de FOTOGRAMAS, qui de. Finley transforme Anya Taylor-Joy et Olivia Cooke en deux femmes fatales adolescentes qui envisagent un meurtre. Pure comédie noire.
20 Quoi qu’il soit arrivé à Brad
Probablement l’un des meilleurs et des plus sous-estimés des films de l’année. Une crise de 30 ans frappe le personnage de Ben Stiller, qui, avec un fils sur le point d’entrer à l’université, se demande qui il est. Comment en est-il arrivé là ? Mike White sait comment tirer de l’or de ses performances de personnage et dépeint une émotion universelle pleine de caractère et d’honnêteté.
21 prêtre
Paul Schrader (« Taxi Driver », écrivain et cinéaste passionné) revient pour nous laisser avec l’un des films les plus excitants de l’année. Ethan Hawke joue un prêtre pleurant la mort de son fils. Un « studio de réalisateur », comme on le définit dans Variety, et un film qui respire la douleur tant par son imagerie (énorme) que par la férocité de ses acteurs.
22 histoires
Il n’est pas sorti en Espagne dans les cinémas commerciaux, mais sur HBO. Qu’à cela ne tienne : c’est l’un des films indépendants les plus surprenants et nécessaires de l’année. Le film continue de penser à tout ce que le mouvement #MeToo a apporté, au harcèlement sexuel et à son impact. Laura Dern, maître.
23 endroit calme
Quelqu’un a-t-il imaginé…