Jurassic World : Royaume Déchu
direction: Jean Antoine Bayonne
distribuer: Chris Pratt, Bryce Dallas Howard, James Cromwell, Justice Smith, Jeff Goldblum, Ralph Spall, Toby Jones, Ted Levine, Geraldine Chaplin
Titre en VO : Jurassic World : Royaume Déchu
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2018 date de sortie: 07-06-2018 période: 124 le sexe: aventure Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Colin Trevorrow, Derek Connolly la photographie: Oscar Farra musique: Michel Giacchino
résumé: Quatre ans après la catastrophe qui a détruit le parc, Claire (Bryce Dallas Howard) se tourne vers Owen (Chris Pratt) pour tenter de sauver les dinosaures de l’extinction lorsqu’un volcan entre en éruption sur l’île de Nublar. Dans leurs tentatives, ils découvriront une conspiration qui menace l’ordre naturel.
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Le Meilleur : Détecte l’empreinte de Bayonne et la dérive gothique du film.
Pire encore : attendez-vous à un film avec un scénario plus complexe.
En plus du défi de faire ses débuts à Hollywood avec un blockbuster, JA Bayona a fait face à deux autres défis. Le plus évident : donner de la substance et une sorte de personnalité à un film qui est la suite d’un autre film récent et le cinquième volet de la vénérable franchise. Un autre : savoir gérer son admiration pour Steven Spielberg, dont l’empreinte est évidente dans ses précédents travaux. Peut-être parce qu’une partie importante du métier, qui consiste à savoir gérer des films de production très complexes, est dominée par « Impossible » (2012) et « Monsters Come to Me » (2016), les cinéastes ne relèvent pas seulement un triple défi. Il a eu tout le temps d’inventer le meilleur de la saga et a signé un film 100% Bayona où son intérêt et sa sensibilité étaient à l’honneur.
Les plus précieux sont les dialogues que Bayonne a noué avec les légendes, les films de Spielberg et les projections de films d’une autre époque, n’ayant pas peur de se présenter avec clarté et innocence, brio et émerveillement. Le réalisateur maîtrise l’admiration et la nostalgie, rendant hommage aux franchises et aux films de maître sans tomber dans l’évidence ni faire l’idiotIl y a quelque chose de très années 80 là-dedans, indéniablement, dans sa façon de concevoir les séquences et les conflits, et même d’aborder les personnages. Son engagement pour le cinéma de divertissement contemporain est sans équivoque… oui, dépouillé de son bruit et de sa confusion. Rythme rapide, avec plusieurs séquences emblématiques remplies d’images évocatrices et belles, Le film est particulièrement personnel dans la deuxième partie car il capte, s’assombrit et flirte avec les fantômes: Les dinosaures plongent dans une histoire d’horreur gothique magnifique et étrangement détaillée.
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