je ne suis pas toi
direction: Juan Taratuto
distribuer: Diego Peretti, Soledad Villamil, Cecilia Dopazo, Marcos Mundstock, Luis Brandoni, Eugenia Tobal, Mariana Briski, Hernán Jiménez, Roly Serrano
Pays de citoyenneté: Argentine an: année 2004 date de sortie: 27-05-2005 période: 105 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Juan Taratuto la photographie: Marcelo Acarino musique: Jorge Drexler, Diego Greenblatt
résumé: Le monde de Javier (Diego Peretti) tombe sur lui, et la femme qu’il aime, Maria (Soleda Villamil), l’appelle pour commencer une nouvelle vie avec lui en Amérique rompre avec lui. Désespéré et solitaire à Buenos Aires, Javier renaît avec l’aide d’un psychanalyste, de meilleurs amis, d’un chien et d’une fille (Cecilia Dopazzo) et commence à sortir ensemble.Ce à quoi personne ne s’attendait était la réapparition de Maria… Posté le : 27 mai 2005
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Dans une séquence charnière de cette comédie apparemment banale, superficielle et commerciale, Javier (Diego Peretti) est horrifié de découvrir qu’il a été avec lui pendant ses derniers mois tragiques, névrotiques et désespérés.L’animal géant n’est pas un chien… mais une chienne, et surtout, elle est enceinte. C’est le glaçage final, la vente aux enchères, et le début d’une nouvelle ère dans l’existence du protagoniste de ce film profondément misogyne dans lequel les femmes sont soit infidèles, vengeresses, capricieuses, intéressées, soit… Elles cachent leur sexe. Si ce n’est pas toi, c’est moi, la durée et le rythme semblent tenir en quelques secondes, une production américaine mettant en vedette Tom Hanks et Meg Ryan (interprétée ici par Cecilia Dopazo, qui, en plus de participer à la production et au casting, a reçu le personnage de bonne femme), on pourrait dire que vous avez un chiot ou quelque chose à opérer, et certaines de ses blagues font référence à cette coutume moderne, ce sport très argentin est la chirurgie esthétique (d’où cette brillante découverte comme Pere Un acteur comme Ti, qui a un gros nez tordu et un joueur de football dont les jambes sont aussi courbées que celles de John Wayne). Si nous recherchons une partie métaphorique (pourquoi pas ? Des amis d’autres continents ne sont-ils pas des experts pour trouver trois pieds de chats ici ?), pour ce remake inavoué de Surprise Bazaar, Javier représenterait l’Argentine ; Maria (Soleda Villamil), l’épouse adultère devenue obsédée et symbolisant le passé, serait l’Italie (peut-être l’Uruguay ?) ; et Julia (Dopazo) serait évidemment l’Espagne, l’avenir, l’espoir, la rédemption : N’oublions pas que l’Espagne a toujours été la sève du cinéma actuellement représenté par Taratuto lui-même, Luis Puenzo, Campanella, Martel ou Aristarain. La mère du producteur, comme dans le film, aide à donner vie à de nombreux chiots (le film) qui ne seraient pas nés sans cette union féconde. Pour les amateurs de comédie avec un fond. le meilleur: le style comique de Peretti. le pire: L’origine de Villamil n’est pas très claire.
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