irréversible
direction: Gaspar Noé
distribuer: Philip Nahon, Monica Bellucci, Vincent Cassel, Albert Dupontaire
Titre en VO : irréversible
Pays de citoyenneté: France an: année 2002 date de sortie: 11 octobre 2002 période: 95 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Gaspar Noé
sommaire: Alors que le rideau se lève sur « Irréversible », nous nous retrouvons confrontés à notre cauchemar le plus poignant : deux amis, Marcus et Pierre (Vincent Cassel et Albert Dupontre) frénétiquement Vagabond, ivres de vengeance, parcourent la face la plus sanglante des nuits parisiennes. à la recherche de l’homme responsable du viol et du meurtre de la compagne de Marcus, la belle Alex (Monica Bellucci), après une expérience traumatisante.Mort une nuit après près de dix minutes de douleur atroce due à un mauvais coup du destin.
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En fait, je me demande encore pourquoi ce film de Gaspar Noe a fait un tel scandale et suscité autant de refus au dernier Festival de Cannes. me demandais-je, car plus j’y réfléchissais, moins je comprenais comment ce film d’aventure formelle et thématique suscitait une telle réaction chez un public censé être préparé à quelque transgression. Irréversible parle du temps qui détruit tout, de certaines actions irréversibles, du désir de vengeance suite à la perte d’un être cher. Il en parle et le fait d’une manière cohérente avec ce qu’il dit. À travers 12 séquences de durées variables, chacune tournée avec caméras, lumières et musique, reflétant l’ambiance et la situation racontée, Noé nous entraîne irrévocablement, de conséquence en cause, à travers l’histoire d’une nuit où la vie de trois personnes sera complètement détruite. L’amour d’Alex et de Marcus, le viol horrible d’Alex et la vengeance animale qui s’ensuit peuvent être racontés en ligne droite et ne dérangeront probablement personne. Ce qui fait réagir à ce conte d’amour et de violence, c’est que Gaspar Noe a choisi une narration à contre-courant, racontant l’histoire à l’envers, obligeant le public à être plus attentif et complice que d’habitude. L’histoire passe de l’obscurité, du bruit et de la mort à la lumière, au silence et à la vie. Le point central où la mort et la vie se rencontrent dans un couloir sombre, les deux fusionnent dans une séquence de viol, filmée sans relâche mais aussi sans sensationnalisme. C’est l’assèchement de ce qui se passe dans cette scène charnière, avec la caméra immobile, dans un silence complet, qui provoque la plus grande agitation. Probablement parce qu’il n’a pas été tourné de la manière naturaliste habituelle ou de la forme ovale gracieuse, mais d’une manière théâtrale volontaire à la première personne qui a gardé le public impliqué. Avec ce film, Gaspar Noe boucle une trilogie violente qui enchaîne trois de ses films. Seul contre tous est né naturellement de Carne, et de la fin de ce film vient cette histoire irréversible, qui commence par une conversation en prison où le meurtrier de Seul contre tous raconte son histoire et entend l’histoire du seul Pierre survivant de By. Cette nuit terrible et irréversible. >> Pour les cinéphiles à contre-courant. Le meilleur : Une structure pleine d’espoir et une fin dont nous savons qu’elles ne seront jamais possibles. Le pire de tout: à propos de tout ce qui a été dit, et tout ce qui a été dit (y compris cette critique) nuit à l’impact de le trouver la première fois.
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