illimité
direction: Neil Burger
distribuer: Bradley Cooper, Abbie Cornish, Robert De Niro, Anna Friel
Titre en VO : illimité
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2011 Date de sortie: 08-04-2011 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Leslie Dixon la photographie: Joe Williams la musique: Nico Mulley
sommaire: Top secret, la pilule intelligente MTD-48, fait fonctionner le cerveau avec une efficacité incroyable malgré des effets secondaires dangereux. Un intellectuel et ancien toxicomane (Bradley Cooper) tombe sur une certaine quantité et décide de faire un essai.
la revue
Le meilleur : Bradley Cooper a trouvé ça, ça, pas de limites.
Le pire : il perd peu à peu son soufflet, et ses conclusions morales.
Dans « Charlie » de Ralph Nelson en 1968, une adaptation de l’excellent roman « Flowers for Algernon » de Daniel Keyes, la prémisse de la science-fiction (un déficient mental augmente son QI en expérimentant des drogues) sous prétexte de psychanalyse de la société de ces années d’hippieisme, de psychédéliques, de féminisme et de mouvements de liberté. Fondamentalement, un tour de montagnes russes d’un rêveur heureux et naïf vers une conscience et une intelligence élevées est plus important que toute préfiguration tragique, et c’est fondamentalement la même chose que le genre de science-fiction a toujours eu : vous ne pouvez pas défier Dieu parce que ça va être plus difficile à l’automne. No Limits est aussi une nouvelle proposition de fantasy science en termes de réalisme (et de moralisme, ses conclusions peu judicieuses), et son réalisme a un objectif pointu : l’effondrement du capitalisme illustré par la crise financière que nous traversons. (un Bradley Cooper très robuste, meilleur que De Niro qui semble souscrire à des congés payés… à chaque rendez-vous), ce qui en fait un homme avec des gens talentueux, qui savent tout, voient tout, etc. Pour les jeunes lions de Wall Street qui se croient maîtres de l’univers, ce n’est rien de plus qu’une métaphore… mettre fin à cet univers en nous entraînant dans un trou noir. Utilisant un beau ton de série B (qui a donné le charme au dernier film du réalisateur, The Illusionist), No Limits est comme le Charlie mentionné au début de cette critique, mais avec un dérivé du thriller complotiste à la Phillip K. Queue. Jeckyll & Hyde abordent la catastrophe boursière avec l’odeur d’un coq ; une supernova en décomposition destinée à exploser avec HG Wells et son anti-héros tout-puissant. Pourtant, aussi inévitable et persistante que soit la morale de la fin, le film reste un film de science-fiction incorrect. L’homme au costume blanc ?
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