High School Musical 3 : Fin d’année
direction: Kenny Ortega
distribuer: Zac Efron, Vanessa Anne Hudgens, Ashley Tisdale, Lucas Grabir, Monique Coleman, Bart Johnson, Orisa Rue Lin, Chris Warren Jr., Ryan Sanborn, Cathy Stroh, Alison Reed, Matt Prokop, Justin Martin, Gemma MacKenzie-Brown
Titre en VO : High School Musical 3 : année secondaire
Pays de citoyenneté: utiliser an: Année 2008 date de sortie: 24-10-2008 période: 100 le sexe: musique Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Pierre Bassocchini
résumé: Troy et Gabriella terminent leurs dernières années et doivent faire face à la perspective d’une séparation alors que leur avenir universitaire prend des directions différentes. Ils rejoignent le reste des « Wildcats » dans une comédie musicale printanière élaborée qui reflète leurs expériences, leurs espoirs et leurs craintes quant à l’avenir. Avec une nouvelle musique incroyable et une danse impressionnante, tirant le meilleur parti des possibilités qu’offre le grand écran, cette extravagance cinématographique offre un plaisir de haute intensité à l’équipe d’East High.
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Le meilleur : les numéros de musique entre les voitures.
Le pire : des fêtes de fin d’année fades.
N’importe qui d’entre nous avec une fille de huit ans sait ce qu’est ce phénomène Lycée musical il est. Nous le savons et souffrons naturellement parce que nous sommes tous des enfants et des préadolescents, envoûtés par le monde parfait de la fantaisie, de la beauté et de l’orthodontie, et par une bonne ambiance.Tous les adeptes de cette trilogie sautent maintenant de la chaîne sucrée Disney au grand écran et me reprochent probablement de rire, grâce à graisse, avec de grands lycéens, pas le film que je critique en ce moment.j’accepte mais graisse Il a une meilleure musique, chanson et chorégraphie, et c’est ironique. Dans cette académie de gens beaux, illusoires et ultra-conservateurs, je ne vois que du marketing de conte de fées. Je ne renierai pas le travail clair du réalisateur Kenny Ortega sur la danse, mais je lui reprocherai de ne pas tout donner dans un dernier numéro fade et décevant. Je dirais aussi que je m’inquiète de la stérilité de l’intrigue, de son blanchiment forcé et du tout aussi irritant politiquement correct qui exclut le racisme, le classisme et les marges du capitalisme (les aspirations futures de ces diplômés). Eh bien, cette fille ne se soucie pas de la sous-estimation d’un adulte critique. Non pas que ce film soit, je ne sais pas si c’est sans le savoir, un carnaval gay. Elle ne s’intéresse qu’au baiser entre Troy et Gabriella, et tout le monde se lève et mange joyeusement de la perdrix. Chez Disney, ils ont toujours été ainsi, mais pas aussi linéaires qu’Archie Comics. Bon pour le rythme, l’énergie et la certitude, ça aurait pu être pire : feu vert pour l’insupportable Jonas Brothers Camp Rock : The Movie.
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