Hercule (2014)
direction: Brett Ratner
distribuer: Dwayne Johnson, John Hurt, Ian McShane, Joseph Fiennes, Rufus Sewell, Irina Shayk
Titre en VO : Hercule
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2014 date de sortie: 05-09-2014 période: 98 le sexe: action, aventure Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Ryan Condal, Evan Spiriotopoulos la photographie: Dante Spinotti
résumé: L’un des héros les plus mystérieux de tous les temps, Hercule (Dwayne Johnson) est le chef d’un groupe de mercenaires qui veulent restaurer la véritable royauté de Thrace. Son statut de demi-dieu lui confère des pouvoirs surhumains, même s’il devra faire face à la souffrance humaine.
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Le meilleur : L’orgasme final.
Le pire de tout : Ratner manque de flair visuel.
« Hercule » de Brett Ratner commence plus ou moins comme « Hercules’ Vengeance » (Vittorio Cotafavi, 1960), un héros, mi-homme, mi-dieu, contraint d’accomplir douze missions de Superman, dont la dernière est sa bataille avec Cerberus . Alors que le monstre à trois têtes est un animatronique plutôt comique dans l’épopée de Kotafavi, le « sens de l’émerveillement » dans ses films est très puissant. « Hercule », d’autre part, rejette Bizarre Adventures dans une aventure qui remet en question l’origine divine du héros et tous ses exploits merveilleux. C’est une singularité étrange d’un produit fait avec professionnalisme (pas de créativité : Ratner ne laisse généralement pas sa marque sur son travail), et ses scènes d’action (combats, point culminant sansonydalilesco…) sont spectaculaires Et en peignant l’équipe de mercenaires qui compose Hercule et ses collègues avec sympathie, Hoxon fait écho jusque dans ses explosions d’humour : Ian McShane et ses prédictions toujours ratées. L’empathie et l’humour, bien que torturés tout au long du plan, sont aussi distillés par Dwayne Johnson, une présence toujours ravissante, parfois, comme dans « Be Cool » (F. Gary Gray, 2005) ou « Pain and money » (Michael Bay , 2013), franchement étonnant. Sans doute plus solide que le récent Hercule : L’origine de la légende (2104), mais il lui manque le charme de la série B qu’ont les films de Renny Harlin.
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