guerrier
direction: Daniel Calpasoro
distribuer: Eloy Azorín, Eduardo Noriega, Rubén Ochandiano, Carla Pérez, Jordi Vilches, Roger Casamajor, Iñaki Font, Sandra Wahlbeck, Olivier Sitruk, Roman Luknár
Titre en VO : guerrier
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2001 date de sortie: 22-03-2002 période: 95 le sexe: guerre Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Daniel Calpasoro, Juan Cafstani la photographie: Josep Maria Sivert musique: Navarjan
résumé: Une unité d’ingénieurs de l’armée attachée au contingent espagnol à Corfou a reçu l’ordre de réparer un répéteur électronique dans une zone connue sous le nom de « zone restreinte » qui a provoqué des pannes de courant dans de nombreuses villes frontalières. Au cours de cette mission, les membres du peloton, comme Vidal, un jeune soldat qui a récemment rejoint l’armée professionnelle, ou l’ambitieux lieutenant Alonso, se retrouveront plongés non seulement dans le conflit de la guerre, mais aussi dans une lutte interne avec leurs croyances. .
critiquer
Comparer The Warriors à un film comme Black Hawk Down est des plus excitants. D’après les coïncidences thématiques et stylistiques des deux films, la résolution de la guerre, de la morale et même des conflits sociologiques dans les deux films est très différente, voire diamétralement opposée. Si le Black Hawk est abattu, cela peut se résumer à l’US Marine Corps contre l’US Marine Corps. Zombies sans âme, Greyros nous montre des soldats transformés en zombies sans âme à travers les traumatismes et les expériences brutales des guerres des autres. Comme s’il s’agissait d’une version bizarre de I Am Legend, Richard Matheson, Calparsoro intelligent, brillant, subtilement inversé, le pseudo-héros darwinien de John Milius Apocalypse, l’aventure classique des Lumières avec une touche de mystère, Apocalypse Now, nous présente une histoire de brutalité et brutalité. Blagues nihilistes, toutes les victimes sont toutes des monstres, pour être précis, plus il cultive l’héroïsme, l’idéalisme et l’esprit des arts martiaux, même sous la bannière morale de l’apaisement et de l’assistance aux civils, plus il est facile de tomber dans la sauvagerie et la folie. Hormis cet environnement moral brillant, ambigu et pas du tout complaisant, luttant efficacement contre la guerre sans tomber dans la vulgarité, le talent de réalisateur de Calpasoro n’a rien de la maladresse propre au cinéma espagnol (le pardon). S’appuyant sur un jeune acteur talentueux, mené par Eloy Azorín, dont la beauté combine la capacité de créer des personnages complexes tout en étant mesquin et héroïque, mais toujours ambigu et convaincant, Grey Rose, il L’ironie s’est résumée à cela, comme Asfalto l’a déjà fait, son propre titre suggère que Calpasoro est le cinéaste le plus établi et le plus cohérent de sa génération. >> pour les militants anti-guerre intelligents. Le meilleur : la fusion parfaite de la matière et de la forme. Pire encore : quelques relents de manichéisme anti-serbe.
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