gros chat
direction: Pont de Ventura
Titre en VO : gros chat
Pays de citoyenneté: Espagne an: année 2002 date de sortie: 17/01/2003 période: 105 le sexe: Documentaire Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Pont de Ventura la photographie: Bernard Bosch musique: chat perez
résumé: L’inimitable Gato Javier Patricio Pérez Álvarez est né à Buenos Aires en 1950 et est décédé d’une crise cardiaque dans la petite ville de Caldes de Montbui en Catalogne en 1990. Il est un fusionneur et un innovateur de la rumba, et il sait lui donner (tant musicalement que dans les paroles) cet air unique à un genre musical particulier. Ventura Pons rappelle que son énergie allait de pair avec sa liberté, son défi à l’orthodoxie musicale, son amour des racines populaires de la musique et, surtout, son amour de Barcelone et sa joie de vivre. Revenir à sa stature, c’est comme revenir aux années 80, cette façon de sentir le pouls de la ville quand beaucoup d’entre nous pensaient qu’ils allaient conquérir le monde.
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Depuis quelque temps, Ventura Pons dresse à travers ses films un portrait méconnu de Barcelone. Parfois manifeste, parfois plus insidieuse, mais dans tout ce qui a été filmé au cours de la dernière décennie, la ville a pris une place décisive. Dans ce dernier ouvrage, difficile à catégoriser (est-ce un documentaire ? Une biographie, mais aussi la ville qui l’a embrassé et la génération à laquelle il appartenait. Mais si nous ne voyions même pas Barcelone présente, le chat serait plus présent, sans recourir à des photographies, des images d’archives ou même ses archives. L’un et l’autre imprègnent le film de telle manière qu’on finit par avoir le sentiment de connaître complètement le musicien et son univers, sans vraiment quitter un lieu. La formule utilisée par Ventura Pons est l’une des plus classiques au monde (il ne faut pas s’en tenir au moderne pour être bon dans les choses) : des entretiens avec des gens qui connaissent Gato Pérez en dialogue, avec quelques monologues. Alors que ces conversations éclairent la vie de Gato de sa naissance à sa mort à 40 ans, 15 chanteuses proposent des versions très personnelles de certaines de ses chansons qui reflètent directement cette évolution : de Sabor de barrio ou Rumba de los 60 à All Women, les machines sont forcées ou seul à se saouler. 15 chansons, 15 bribes de vie, pas seulement des hommages ou des souvenirs, témoignage de la vitalité d’un homme, des années après sa mort, toujours dans la mémoire d’une ville qu’il ne voulait pas et qu’il ne devait pas perdre Le pouvoir du mariage interracial fait qu’il était tellement fasciné. >> Amateurs de rumba tzigane. Meilleur : Chansons entraînantes pour différentes raisons. Le pire : quand c’est une comédie musicale, c’est traité comme un documentaire.
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