garçon en pyjama rayé
direction: Marc Hermann
distribuer: Vera Farmiga, Richard Johnson, Sheila Hancock, Jim Norton, Aaron Laslow, Carla Hogan, Rupert Friend, Amber Beatty, Jack Scanlon, David Thewlis, Asa Butterfield
Titre en VO : garçon en pyjama rayé
Pays de citoyenneté: Angleterre Amérique an: Année 2008 date de sortie: 26/09/2008 période: 93 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Mark Herman, John Boyne la photographie: Benoît Delhom
résumé: BERLIN, 1942 – Bruno (Asa Butterfield) a neuf ans et ignore complètement la solution ultime et la signification de l’Holocauste. Il n’avait aucune idée de l’effroyable cruauté que son pays avait infligée aux peuples d’Europe. Tout ce qu’il sait, c’est que son père (David Thewlis) a été promu au travail et est passé d’une maison confortable à Berlin à une région reculée où il n’y a pas grand-chose à faire, surtout personne avec qui jouer. Mais tout change lorsqu’elle rencontre Shmoor (Jack Scanlan), un garçon qui mène une étrange vie parallèle de l’autre côté de la clôture et, comme tous ceux qui y vivent, porte des vêtements similaires à Uniform en pyjama rayé. L’amitié de Bruno avec Shmuel marquera la fin de l’innocence de son enfance. Leur rencontre secrète débouche sur une amitié dont les conséquences seront vertigineuses et dévastatrices.
critiquer
Le meilleur de tous : le placement élaboré du film.
Le pire : il y aura des comparaisons haineuses autour de lui.
S’il vous plait, de Nuria Vidal
La meilleure chose que l’on puisse dire à propos de ce film, c’est qu’il est tout le contraire de La vie est belle de Roberto Benigni. Là où la douce superficialité éveille des larmes faciles, elle devient ici une horreur profonde et terrifiante. Malheureusement, ce n’est pas l’horreur des camps de la mort nazis à laquelle les films nous habituent, mais l’horreur de voir les conditions réelles de ces camps avec des yeux innocents et propres. Le courage de cette histoire réside dans le fait de montrer l’objectif inversé. Le cinéma nous a raconté maintes fois ce qui se passait à l’intérieur des barbelés, mais presque jamais ce qui se passait à l’extérieur. Comment se sentaient les familles des dirigeants nazis des camps d’extermination ? Comment pouvaient-ils supporter de savoir ce qui leur était arrivé ? Un enfant de huit ans peut-il comprendre ce qu’est une ferme, avec des fermiers toujours en pyjama ? Herman n’oubliera jamais le point de Bruno d’être un garçon solitaire à la recherche de quelqu’un avec qui jouer dans un monde qui semble n’avoir rien. Nous vivons tout à travers lui. Ce n’est qu’à la fin du film que Bruno tombe dans les ténèbres, et les autres sont perdus à jamais.
Contre, Mirito Torreiro
Même en niant l’horrible phrase de Theodor W. Adorno, selon laquelle la poésie n’est plus possible après Auschwitz, il ne fait aucun doute qu’il faut être prudent lorsqu’il s’agit de l’extermination des Juifs dans les camps de concentration nazis : il y a des Juifs que Spielberg a utilisés. pas un film sur l’Holocauste, mais une histoire sur les vainqueurs (définie par S. Kubrick). Donc en construisant ce point de vue sobre et bien narré, le choix du Mark Herman par ailleurs compétent (je n’ai aucun problème avec le roman sur lequel le film est basé, je ne sais pas) le film est honteux. (donc plus sinistre) : mettez-le dans les yeux d’un fils de commandant SS, et cela nous laisse un sentiment indescriptible du destin de la créature… alors que le four crématoire brûlait les corps de centaines d’autres victimes, nous ne l’avons pas vu. Cela seul suffit à détester un film aussi délicat ; mais il y a plus : une mère qui ne sait pas ce que fait son mari, une petite sœur qui s’apprête à s’immoler par le feu pour Hitler mais s’arrête brusquement… comme si toute l’Allemagne résiste…
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