fine ligne jaune
Doctorat
direction: Celso García
distribuer: Damian Alcázar, Joaquín Cosio, Gustavo Sánchez Parra, Silverio Palacios et Américo Hollander.
Titre en VO : fine ligne jaune
Pays de citoyenneté: Mexique an: 2015 Date de sortie: 13/04/2018 point final: 95 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Celso García la photographie: Emiliano Villanueva la musique: Daniel Zlonik
sommaire: Cinq personnes ont été embauchées pour tracer une ligne jaune pour une autoroute reliant deux villes mexicaines. Après plus de deux cents kilomètres, au volant d’un vieux camion, ces ouvriers vont changer leur façon de penser et de voir la vie : il n’y a qu’une mince frontière entre la vie et la mort, entre le bien et le mal…
la revue
Le meilleur : le protagoniste, la profondeur est aussi forte que l’arôme classique.
Le pire : son évasion sentimentale.
Cet humble film, produit par Guillermo del Toro, est plein de bonnes saveurs : un road movie typique Les cinq personnages apprennent à se connaître et développent de solides amitiés au cours de leur voyage. Le protagoniste (l’excellent Damian Alcazar) est un abuseur de vie qui se sent déjà comme tel dans le cimetière de voitures où il travaille avant d’être viré au début du film. Cependant, son cheminement de compagnonnage va lui apporter un changement profond, une transformation : ses premiers mots sont « ça fait longtemps que je n’ai pas cherché » ; ce qu’il a dit en réponse à « Maintenant, qu’est-ce que tu vas faire ? Le dernier est « Continuez à regarder ».
La forme de la figure et sa relation au paysage désertique, à la tristesse et à la désolation, sont liées aux portraits de Sam Peckinpa du Twilight West ; En fait, on a affaire à un groupe pas du tout fou, où résonnent les ballades d’un homme décalé de son temps, et les parallèles entre Alcázar et Jason Robards sont même curieux. Les soirées en plein air ne manquent pas, le café relaxant devant le feu, un serpent inopportun, etc. Le film vacille lorsque Celso García appuie sur la pédale du sentiment (réflexion du fils fugueur sur le jeune employé), mais dans son ensemble, « The Thin Yellow Line » est un portrait respectable de l’intégrité personnelle. Oui, certaines notes de piano mélancoliques de la bande originale rappellent « Million Dollar Baby » (Clint Eastwood, 2004).
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