femmes françaises
Vanessa Paradis, 41 ans, prenait du bon temps.
direction: Audrey Dana
distribuer: Isabelle Adjani, Alice Beledi, Letitia Casta, Audrey Dana, Julie Ferrell, Audrey Floreau, Géraldine Nau Kachet, Vanessa Paradis, Alice Taglioni
Titre en VO : femmes françaises
Pays de citoyenneté: La France an: 2014 Date de sortie: 07-11-2014 point final: 116 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur la photographie: Giovanni Fiore Corteracci
sommaire: Paris, le printemps a commencé. Onze femmes : mère de famille, femme d’affaires, compagne, célibataire ou mariée… toutes représentent tous les aspects de la femme d’aujourd’hui : une belle créature contradictoire, parfois complètement désorientée, mais absolument toujours pleine d’énergie. Enthousiaste, débordante, arrogante, incomprise, compliquée, gênée, jalouse… juste une femme !
la revue
Meilleur : Nakache et son rôle de nounou
Le pire : Laetitia Casta était drôle.
Quiconque pensait que cette comédie chorale française multi-féminine du printemps ressemblerait aux somptueux rassemblements d’azalées nord-américaines que l’on voit habituellement dans les films se tromperait lourdement. Dès le départ (pour que les choses soient bien claires), le titre du film est basé sur les menstruations généreuses et violentes d’un de ses protagonistes, un autre fluide que seul Takashi Miike pouvait imaginer et capter. Comme la plupart des femmes du monde de Miike, si folles, bruyantes et irrévérencieuses, est-ce presque une douzaine de femmes désespérées: toujours à la limite, toujours à travers les genres (l’intrigue comique devient terrifiante ; le drame semble devenir art et prose…), et joue avec le concept de représentation comme choses multiples.
Contrairement à d’autres chroniqueurs acides, à la première personne de la féminité (je pense à la BD Maitena), Audrey Dana préfère s’inspirer de modèles masculins : Marriage/Affective Neurosis de Judd Apatow et Bad/Good Taste des cinéastes Bertrand Burrell et Claude Lelouch. Rien ne vaut les top models qui gagnent cette bataille des sexes en sublimant leur perception d’eux-mêmes, traitant le syndrome de Tourette par les gaz corporels et le sexe débridé. Eh bien, Paris vaut bien une fille… ou 11 cette fois-ci.
Ce contenu a été importé de YouTube. Vous pouvez trouver le même contenu dans d’autres formats sur leur site Web, ou vous pouvez trouver plus d’informations.
Ce contenu est créé et maintenu par des tiers et importé dans cette page pour aider les utilisateurs à fournir leurs adresses e-mail.Vous pouvez trouver plus d’informations à ce sujet et sur du contenu similaire sur piano.io