fantasme final : pouvoir intérieur
direction: Sakaguchi Hironobu
Titre en VO : fantasme final : âme intérieure
Pays de citoyenneté: Japon, Amérique an: 2001 période: 120 le sexe: excellent Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Hironobu Sakaguchi, Jeff Venthal la photographie: Moto Sakakihara musique: Elliott Gordonsall
résumé: 2065. L’invasion extraterrestre a presque détruit la Terre et la population mondiale a chuté. Le Dr Aki Ross, infecté par l’un des extraterrestres, est le dernier espoir de l’humanité. Avec l’aide du Dr Sid et d’une escouade, il doit faire face à la menace extraterrestre… et au diabolique général Hein.
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Alejandro Jodorowsky, extraterrestre visionnaire mais lucide et apatride, n’a pas hésité à relier Rimbaud et le créateur d' »Aguilar » Katsuhiro Otomo à une même férocité, tristesse au niveau de la poésie. Bien sûr, j’appliquerais de telles comparaisons à cette allégorie décousue et hypnotique du futur, qui abandonne la linéarité habituelle de la science-fiction, détruisant ainsi toute suggestion de cohérence narrative au profit d’une intériorisation extrême, plus proche de la religion que du space opera. Messie dans sa forme la plus pure de la culture japonaise traditionnelle, Final Fantasy : Inner Power n’est pas un produit pour enfants, et utilise même les origines embryonnaires de son jeu très populaire Infinite Legends pour soutenir son discours spirituel artificiel nu, peuplé de dieux, de martyrs, de fantômes, anges, démons et arcane extraterrestre, ils sont compréhensibles si l’on prête attention à la symbiose de ce nouveau film avec des extraterrestres ou ésotérique. Trop pour ceux qui se contentent d’accepter le dogme (très décent) des explosions et des gentils contre les méchants. Hypnotique, bouleversante et obsessionnelle, cette croisade mystique remplace les prières par des lasers, et où l’heure de la mort du sacrement est plus importante que les scènes d’action, on retrouve une Jeanne d’Arc portant en germe un post-apocalyptique, une figure de Marianne, comme le personnage torturé du film « Alien3 » d’Otomo ou de Sigourney Weaver est à la fois espoir et malédiction. De même, ce long métrage condamné revigore l’introspection humaniste (ou panthéiste) ostentatoire du manga, anime avec un minuscule excipient hollywoodien, plutôt que d’effacer le titre Toho épuisé de Koji Hashimoto. Robert Heinlein et Frank Herbert respirent, bip à l’intérieur de cette puce géante, transformée en un film qui évoque la création (nouvelles technologies, nouvelles frontières, humanoïdes et changement de perception) Toujours une doctrine d’un acte colossal de sabotage. >> Pour les surréalistes super rêveurs. Le plus : La transe du protagoniste. Pire que tout : une idole vague (avec un masque à la Ben Affleck !).
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