esprits décriminels
direction: Jared Hess
distribuer: Kristen Wiig, Mary Elizabeth Ellis, Owen Wilson, Zach Galifianakis, Jason Sudeikis, Ken Marino
Titre en VO : planificateur
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2015 date de sortie: 04-01-2017 période: 94 le sexe: action, comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Emily Spivey, Jody Hill, Danny McBride, Chris Bowman, Hubbell Palmer la photographie: Éric Wilson
résumé: David Gant (Zach Galifianakis) découvre que le vrai sens de l’aventure va bien au-delà de ses rêves les plus fous. C’est un homme simple pris au piège d’une vie monotone. Chaque jour, il conduit un véhicule blindé, transportant des millions de dollars d’autres personnes, et ne voit aucun espoir d’amélioration. Le seul indice émotionnel est son béguin, sa collègue Kelly Campbell (Kristen Wiig), qui va bientôt changer ses plans de vie. Avec un groupe de criminels stupides dirigé par Steve Chambers (Owen Wilson), David réalise l’impossible avec un plan absurde et s’empare de 17 millions de dollars en espèces… le seul. Le problème est qu’il a fait une erreur et a remis l’argent à cette bande de sauvages, et c’est là que tout s’est compliqué. Ces criminels dépensent des millions en produits de luxe extravagants et absurdes et laissent une trace claire de preuves. Désormais en fuite, David doit se cacher des autorités, échapper à un tueur à gages hilarant Mike McKinney (Jason Sudeikis) et affronter ses anciens collègues et les personnes en qui il a le plus confiance.
critiquer
Le meilleur : son portrait hilarant de la misère du capitalisme humain.
Le pire de tout : flirter avec une mimique consommable.
L’ombre puissante et feuillue du film policier absurde des frères Coen « Frozen » éclipse non seulement certaines de ses sœurs ultérieures (je pense aux magnifiques sous-estimés « Victory Combo » et « Frozen Harvest »), Caché des critiques et du public, américain la comédie a transformé les chroniques noires en produit de rires malveillants il y a des années. «De-Criminal Minds» s’inspire davantage de la folie farce des films de la fin des années 60 et du début des années 70, du «Rififí a la Americana» basique et oublié ou du «matériel américain» contre-culturel, tout en ne s’inspirant pas de l’univers de Cohen. Un film avec l’oscarisé Francis McDormand et son adaptation à la télé (à la fois édifiante et rétro). Puis vint l’un des événements d’actualité les plus bizarres dans la réalité que la fiction, encore une fois un cliché, « De-mentes crimes » est une chaîne d’erreurs, de gaffes, d’erreurs, de coïncidences et de crimes… c’est des dieux maladroits et de la stupidité pour toujours One des braquages les plus bâclés jamais planifiés et exécutés.
Après tout, il s’agit d’une application des règles de la comédie : la loi de Murphy du chaos humoristique, la théorie des dominos selon laquelle chaque décision absurde fait tomber le segment suivant de manière irrésistiblement drôle. Dans ce cas, les cartes sont une liste convoitée d’actrices et d’acteurs dans des portraits et des performances pathétiques et ridicules. Le film présente une mission spécifique consistant à souligner toutes les quelques minutes que tout ce qui est montré se passe tel quel et à transformer les bandes dessinées du magazine satirique Crazy (ou l’une des nôtres de Briguera Press) plus caricaturales. Peut-être destiné à passer inaperçu comme « Thirty Minutes or Less », c’est une autre fausse fille de « Fargo » et des archives du journal American Crime Geek, avec son air caricatural et ses vagues qui ressemblent à « Three O’Clock Heist » La version Poole finalement l’a transformé en un spécimen digne d’être défendu.
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