Esprit vide
direction: Simon Marque
distribuer: James Caviezel, Greg Kinnear, Joe Pantoliano, Barry Pepper, Jeremy Sisto, Bridget Moynahan, Peter Stormare
Titre en VO : inconnu
Pays de citoyenneté: utiliser an: année 2006 Date de sortie: 20 décembre 2006 point final: 98 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Matthieu Wayne la photographie: Steve Yedlin la musique: Angelo Millie
sommaire: Cinq hommes (James Caviezel, Greg Kinnear, Joe Pantoliano, Barry Pepper et Jeremy Sisto) se réveillent enfermés dans un entrepôt avec une amnésie chimique. Ils ne savent pas qui ils sont ni ce qui les fait paraître ligotés et meurtris là-bas. Petit à petit, ils sont arrivés à la conclusion qu’ils étaient victimes d’un enlèvement, mais qui étaient les gentils et qui étaient les méchants ?Date de sortie : 22 décembre 2006
la revue
Nous courons incontrôlablement vers la sublimation de la paranoïa. Ils doivent être les signes d’une apocalypse qui dure depuis un demi-siècle. Les débuts de qualification de Simon Brand, Blank Minds, se faufilent dans une voie suicidaire qui voit le Calvaire des temps modernes sans une once d’espoir. Rod Serling anticipe l’amnésie, l’abstraction et l’arrière-goût allégorique de Brand dans « Five Characters Who Find a Way Out », l’intrigue méta-split Pyrender-esque de « Twilight ». Un autre quintet d’oubliés, d’emprisonnés et de tourmentés s’empare de la frayeur de Cold War Sellin, les plaçant dans la vraie bataille et l’inconscient collectif du moment. Les MacGuffins qui devinent qui sont les kidnappeurs et ravisseurs, bons et méchants, questionnent la somnolence d’une société qui se débat avec des ennemis infinis, et ont peur des autres (la cathode perdue le sait) si ce n’est pas nous. Difficile à tenir en très peu de scènes, avec très peu d’acteurs (qui témoignent tous d’un professionnalisme avéré), face à une (ou quelques) surprises (ou pas tant que ça) à la fin, la thèse Le climax est liés ensemble. C’est exactement ce que le nouveau réalisateur s’efforce de faire : chaque mouvement ou cadre de prise de vue est conçu pour s’identifier à l’esprit altéré qui est piégé et s’engage à ne pas oublier que le film est image, son et montage. Le résultat est un virage serré dans le suspense qui mène à un vide émotionnel où le bien croise les lignes de diffusion du mal.Pour la clarté et l’obscurité. le meilleur: Description du personnage. le pire: Ils essaient de le vendre comme n’importe quelle scie.
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