en cours de construction
direction: joseph louis gélifiant
Titre en VO : en cours de construction
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2001 date de sortie: 10 octobre 2001 période: 130 le sexe: Documentaire Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: joseph louis gélifiant la photographie: stephen bouquet
résumé: Un immeuble à appartements est en construction dans un quartier populaire menacé par des plans de réforme. L’évolution d’un bâtiment, depuis cet espace encore parcellaire jusqu’à son stade final, marque la vie des riverains.
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Dans El sol del membrillo, ce que certains d’entre nous considèrent comme le plus procédural et le plus risqué de ses films, le grand Victor Ellis positionne humblement sa caméra pour capturer les efforts artistiques de l’artiste Antonio Lopez et sa poursuite inlassable du réalisme pictural devant un papayer. Plus discret, mais tout aussi ambitieux, Guerin place sa position au cœur d’un des quartiers historiques du vieux Barcelone, Elcino, avec le même palmarès d’efforts. Pas artistique, réel, mais tout aussi important pour la vie : le travail et la vie de quelques personnes, un groupe de travailleurs, et la voix et la présence de citadins en changement constant et imparable. Ces deux tentatives, Erice alors et Gaelin maintenant, ont une certitude immortelle : dans un monde bruyant, l’image ne transcende plus son apparente évidence, il faut donc entendre d’autres voix, faire signe à d’autres êtres. Et utilisez d’autres outils narratifs pour le faire. Méfiance à l’égard des histoires basées sur des scénarios ; et, pourquoi pas, la volonté de retracer ce chemin, après plus de 100 ans et des millions d’heures de fiction, semble n’avoir conduit qu’à l’une des nombreuses possibilités de l’image en mouvement, pure et simple. divertissement. Donc « en construction », comme « Innisfree » et « Train des ombres » avant lui, « et bien sûr « El sol del membrillo »¿, qui est la valeur d’une déclaration de principes. Et l’amour : pour une ville, pour Certains citoyens qui ne s’intéressent généralement pas à nos artistes contemporains. Rien que pour cela, Guerin et ses films méritent le plus grand respect. Mais il y a plus : il y a la beauté ordinaire qui est captée, sans fioritures, pour établir une volonté de tenir un discours sur cinéma, depuis l’époque où le film existait, non sous la forme d’un film isolé. Entre autres hommages explicites : les coffreurs et les ferronniers ont chanté des chansons d’une autre époque, comme « El sol … » à López et Enrique Gran ¿, quand évoquant le « Pays des Pharaons » pour lequel les différents personnages se battent. Correct : Guérin fait ici encore preuve d’un manque de retenue, ce qui nuit inutilement au résultat final. Mais il faut toujours le remercier de redécouvrir les meilleurs films. Un fondamental de créateur condition est un engagement inébranlable à sa propre croyance dans le médium. >> Pour le public d’aujourd’hui et de demain. Le meilleur : extrait de sa bio anonyme Un sens de l’humour. Le pire des cas : une extension inutile de nombreuses situations.
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