douleur et gloire
désir
direction: Pedro Almodóvar
distribuer: Antonio Banderas, Asier Etxeandia, Penelope Cruz, Leonardo Spaglia, Raul Arevalo, Giulietta Serrano, Nora Navas
Titre en VO : douleur et gloire
nation: Espagne an: 2018 Date de sortie: 22/03/2019 gJanvier: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Pedro Almodóvar la photographie: Joseph Louis Alcaine la musique: Alberto Iglesias
sommaire: Douleur et gloire suit une série de retrouvailles au crépuscule pour le réalisateur Salvador Marlowe. Certains sont physiques, d’autres se souviennent : son enfance dans les années 1960, quand lui et ses parents ont immigré à Paterna, une petite ville de Valence en quête de prospérité, le premier souhait, qu’il avait déjà eu dans les années 1980. La première venue de Madrid amour majeur, douloureux qui s’effondre tant qu’il est encore vivant, l’écriture est le seul remède à l’oubli de l’inoubliable, du cinéma et de la découverte précoce du vide, face à un vide incommensurable qui ne peut plus filmer. Douleur et gloire parle de la création, de la difficulté de la séparer de la vie elle-même, et de la passion qui lui donne sens et espoir. Dans le processus de remémoration du passé, Salvador trouve le besoin urgent de raconter le passé, et dans ce besoin, il trouve aussi sa propre rédemption.
Le meilleur : La scène finale, qui parvient à condenser tous les films d’Almodóvar en une seule image.
Le pire de tout : quelqu’un qui essaie de critiquer un film circulaire.
Toute l’œuvre cinématographique d’Almodóvar est interconnectée par une série de maillons puissants chargés de donner à chacune de ses propositions une cohésion auctoriale retentissante, si différentes les unes des autres mais toujours parcourues par le même courant souterrain. . Il est maintenant temps de combiner chacune de ces œuvres pour créer une œuvre avec l’étrange capacité de révéler l’essence de l’artiste à travers des images et leurs portes d’intimité pour libérer leurs frustrations et leurs insécurités, montrer leur lumière et leur ombre et revenir sur leurs fantômes spécifiques dans un exercice véritablement créatif et émotionnellement cathartique.
Douleur et gloire est un film confessionnel. Parlant presque à la première personne à travers un alter ego (l’incroyable Antonio Banderas), dans lequel il n’y a aucun désir d’exposition, il suffit au réalisateur de La Mancha d’ouvrir la boîte de sa mémoire. et partagez-le avec le public. Abri vivant. À l’intérieur de cette boîte se trouve un labyrinthe de souvenirs, où la vie et le travail s’entremêlent, les expériences et les rêves s’entremêlent, et les souvenirs prennent une forme physique spécifique.Après tout, c’est une histoire du passé à partir du présent. Le réalisateur a utilisé une série de flashbacks qui nous ramènent à notre enfance, comme un monologue d’un exorcisme personnel, comme une production théâtrale autonome et une série de retrouvailles pour conclure des épisodes inachevés.
Une structure de chapitre, Almodóvar emploie l’audace formelle dans ses œuvres les plus radicales, lorsqu’il s’agit de mélanger différentes textures, discours, changements de narrateur, tons et âges.possible L’une de ses grandes réalisations est la réalisation de tous les flux discontinus exubérants et de toutes ces transformations du temps et de l’espace pour atteindre la cohésion et l’harmonie intérieure complète. Comme si c’était une symphonie du cœur. Almodóvar a atteint le niveau de très peu de maîtres cinématographiques, atteignant un niveau de purification, d’essence formelle et de raffinement, qui sont au sommet de la maturité expressive, capables de tout condenser avec un minimum de ressources.
Aspiration au cinéma. Dans Pain and Glory, scènes du quotidien, costumes, musique pop colorée, références intellectuelles, mais aussi maladie, inquiétude et action. C’est un film sombre et captivant, mais en même temps si généreux, plein de lumière et d’émotion. On y trouve de la joie et de la culpabilité, de la solitude et du sacrifice, mais comme un parfait collage de sentiments, de la couture des œufs aux chansons de Mina, ce sont les éléments apparemment insignifiants qui résonnent émotionnellement. Au final, le cinéma est un désir initial, une énergie transformée, le seul moyen de se réconcilier avec soi-même.
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