dieux égyptiens
Nikolai Coster-Waldau dans « Les dieux égyptiens »
direction: Alex Proyas
distribuer: Gerard Butler, Nicola Coster-Waldau, Brenton Thwaites, Geoffrey Rush, Chadwick Boseman, Courtney Eaton, Abby prune
Titre en VO : dieux égyptiens
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2016 Date de sortie: 22/06/2016 le sexe: aventure, fantaisie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Matt Sazama, Burke Sharpless la photographie: Peter Menzies Jr. la musique: Marco Beltrami
sommaire: Dans l’Égypte ancienne, où l’existence humaine est en jeu, un héros mortel nommé Baker (Brenton Thwaites) se lance dans un voyage passionnant pour sauver le monde et sauver son véritable amour. Pour réussir, il doit solliciter l’aide du puissant dieu Horus (Nicolas Coster-Waldau) pour forger une alliance improbable avec Set (Gerard Butler), le dieu impitoyable des ténèbres qui a usurpé le trône égyptien et plongé le monde dans son temps. Un empire prospère et pacifique au milieu du chaos et des conflits. Alors que leur étonnante bataille contre Set et ses hommes les emmène au paradis, Dieu et les mortels doivent passer le test de la bravoure et du sacrifice pour avoir un espoir de victoire lors de la confrontation épique finale.
la revue
Le meilleur : c’est considéré comme kitsch candide.
Le pire de tout : ça dure trop longtemps, et ça a un drame minime.
Hollywood reste déterminé à transformer le nouveau venu numérique en un secteur d’activité digne d’un super-héros, bien ancré et exempt de jugement qualitatif. Dommage qu’il y ait très peu de grosses productions épée et sandales (ainsi que des créatures, des foules et des arrière-plans pixélisés) ont fait mouche, à la fois sur le plan créatif et au box-office. Gods of Egypt pourrait être envoyé sans ménagement comme une autre tentative ratée de méga-show, après quoi le public en a exigé de plus en plus : un événement improbable, bien sûr.
Une autre possibilité est de faire appel au palais du camp et d’apprécier sa connexion folle, non pas avec la rhétorique de Cecil B. DeMille, mais avec Ces fantastiques exotiques glamour et pulpeux colorés mettant en vedette Maria Montez et John Hall. Un film de retraité de milieu de gamme, quelque part entre fiasco et persistant, mais toujours agréable grâce à ses bizarreries conscientes.
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