Désobéissance
direction: Sébastien Lélio
distribuer: Rachel Weisz, Rachel McAdams, Alessandro Nivola, Carla Hogan
Titre en VO : Désobéissance
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2017 Date de sortie: 25-05-2018 point final: 114 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Sébastien Lélio la photographie: Danny Cohen la musique: Matthieu Herbert
sommaire: Après la mort de son père rabbinique, Ronit Hruska est retournée dans sa communauté juive orthodoxe à Hendon. Malgré les tensions passées entourant le départ soudain de Ronette, l’ami d’enfance du rabbin Dowd Cooperman l’a invité à rester avec lui et sa femme. Ronette est surprise d’apprendre qu’il s’agit de son ancienne meilleure amie qui est maintenant enseignante dans une école orthodoxe pour filles. La situation entre les deux femmes est embarrassante, avec un passé compliqué qui pèse clairement sur elles.
la revue
Le meilleur : Une sublime Rachel McAdams.
Pire encore : certains l’appellent la réponse de l’Amérique à « La vida de Adèle ».
De la prédominance des métaphores existentielles dans des titres tels que « Sagrada Familia » (2005) ou « El año del tigre » (2011), à peine visibles en dehors du circuit des festivals, à son dernier La subtilité et la clarté du contenu et de la forme de l’œuvre long métrage, le merveilleux corpus de films de Sebastián Lelio, culminant avec le stylisé mais passionnant Gloria (2013) et l’oscarisé Le réalisateur du film Wonder Woman (2017) est devenu l’une des principales références du nouveau film L’auteur est d’origine latine Amérique. Là encore, le Chilien concentre son récit sur les péripéties de la dislocation féminine et de la reconnaissance de soi au creux de ses larges vagues dans la société, en utilisant cette fois-ci deux hommes de pouvoir similaire.Le protagoniste vient doubler la mise. Fascinant, dans chacune de leurs productions précédentes, ils ont présenté les inoubliables Paulina Garcia et Daniela Vega.
Bien que cette fois déplacé dans un environnement qui n’est pas le sien, avec l’équipe technique et artistique la plus raffinée d’Hollywood, le réalisateur semble essayer de coller son idéologie expressive à un écrivain si étranger à la grande industrie canon anglo-saxonne. Joue Rebecca Lenkiewicz en charge du scénario de « Ida » (Pawel Pawlikowski, 2013). Alors Lelio, avec sa simplicité narrative ancrée, sans fioritures, et sa complicité avec un casting très dévoué (ajoutons Alessandro Nivola ou Alan Corduna), parvient à garder l’essentiel de son approche du conflit dramatique. C’est-à-dire une empathie poignante, pleine d’admiration et de véritable chaleur pour certains types de personnages bien particuliers : ceux qui font face à des choix difficiles, sinon pur sacrifice, plein d’abandon. En plus de la magnifique première expérience en anglais, « Disobedience » Ce furent d’innombrables vitrines du talent d’un cinéaste qui est désormais clairement destiné à devenir le deuxième pionnier de la lance cinématographique que le Chili a cloué sur la scène internationale ces derniers temps (après Pablo Larin).
Il y a de l’admiration et un enthousiasme sincère pour des personnages très spécifiques de certains types : ceux qui font face à des choix difficiles, sinon de purs sacrifices, pleins d’abandon. Outre la merveilleuse expérience d’être en anglais pour la première fois, Disobedience est la dernière des innombrables vitrines du talent d’un cinéaste.
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