dans la ville
direction: Cesc Guy
distribuer: Monica Lopez, Edward Fernandez, Maria Pujarte, Vicenta Ndongo, Alex Brendemoor, Chisco Amado, Leonor Watt Lin, Jody Sanchez, Miranda Makarov
Titre en VO : dans la ville
Pays de citoyenneté: Espagne an: Année 2003 Date de sortie: 07-11-2003 point final: 110 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Cesc Gay, Thomas Allage la photographie: André Rebes la musique: Joan Diaz, Jody Platts
sommaire: Un groupe d’amis des grandes villes se réunit souvent, pourtant, malgré leur proximité, ils ne se connaissent pas plus qu’ils n’en ont l’air, ils ne se connaissent pas. Chacun avec son propre désenchantement, avec le sien hors du groupe, chacun avec sa propre vie que seul le spectateur connaît.
la revue
Dans la ville, il a photographié un groupe de personnages, pour la plupart dans la trentaine, vivant différentes situations émotionnelles. Leurs trajectoires se croisent à travers un montage qui parvient à réunir toutes les parties sans perdre la vision globale ni les nuances individuelles. De ce double point de vue, le troisième film de Cesc Gay, plus proche de « Hotel Room » que de « Krámpack », réalise un miracle qu’aucun cinéaste n’a jamais réalisé : capturer les états mentaux qui se cachent derrière des mouvements physiques rigoureux, Et pour entendre ces pensées n’ont pas besoin à exprimer dans le dialogue. Grâce à ces qualités, En la ciudad devient un portrait de mensonges et d’hypocrisie, chaque personnage interprété à sa manière. L’infidélité, les fantasmes ou la recherche d’identité sont quelques-unes des variations qui composent la bande son particulièrement harmonieuse du film. Basés sur un scénario original, les films de Cesc Gay font preuve d’une maturité qui se traduit par des cadrages parfaitement adaptés à l’humeur du personnage, des dialogues toujours crédibles et une excellente utilisation des acteurs. Beaucoup d’entre eux ont prouvé leurs talents, mais être dans la ville fait partie de ces cadeaux que tout acteur souhaite croiser sur son chemin. Difficile de distinguer les personnages principaux, mais sans reconnaître que Monica Lopez a joué le rôle de sa vie, Guy a réussi à aligner deux acteurs aussi enclins à la démesure que Jordi Sanchez ou Edward Fernandez et ce serait injuste. Si tout le film sort du lot, la scène du restaurant où le mari offensé critique la rencontre de sa femme avec son amant mérite des applaudissements à chaque projection. >> Pour les cinéphiles sensibles. Le meilleur : Mille nuances de personnages réels, comme la vie elle-même. Le pire : ce Barcelone uniforme et sur-machiné.
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