Critiques pour « Sous-sol du cheval »
Productions de balais
direction: Tate Taylor
distribuer: Octavia Spencer, Diana Silvers, Juliette Lewis, Luke Evans, McCully Miller, Corey Fogmanis, Dante Brown
Titre en VO : Hé bien
nation: NOUS. an: 2019 date de sortie: 7-06-2019 gJanvier: la crainte Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Scotty Landers, Tate Taylor la photographie: Christina Voros musique: Grégory Trippi
résumé: Une femme seule (Octavia Spencer) se lie d’amitié avec un groupe d’adolescents et décide de les inviter à une fête chez elle. Juste au moment où les jeunes pensent que leur chance ne pourrait pas être meilleure, une série d’événements étranges commence, les laissant s’interroger sur les intentions de leur mystérieux nouvel ami.
Meilleur: Octavia Spencer pour un travail pour lequel elle devrait être nominée.
Pire encore : certaines ellipses ressemblent à des scènes supprimées.
« Teenage is scary. » Voici comment Kiko Amat lance sa réédition Ça fait mal celtique, Une chronique de l’expérience criminelle de ce jeune homme terrifiant dirigé par Charles Manson. Une vérité semblable à un temple, non seulement dans la réalité de Black Chronicles, mais aussi dans les films d’horreur. L’un des genres les plus généreux et sophistiqués avec son apparente simplicité, dans lequel l’idée des ados comme innocents buffets gratuits de meurtriers en service cache une idée encore plus troublante : que ces victimes imberbes sont la véritable source de leur attitude. Le bourreau coupable . sous-sol du cheval Suivez cet adage avec une exécution impitoyable (jeu de mots) : Les vrais effrayants sont les adolescents dont le mal insouciant et insouciant a contribué à l’origine du monstreLes adolescents du passé, les parents démolisseurs du présent, et les adolescents du présent, ne sont pas seulement les héritiers des péchés de leurs parents, mais aussi des créatures terribles qui ne susciteront jamais la sympathie du public, même les nouveaux venus de la ville, jusqu’ici dans sa médiocrité, elle terrifierait Stephen King du cycle Castle Rock, le film lui conserve un geste final humble et brutal.
La référence à Stephen King en commentant cette nouvelle œuvre du stakhanoviste Blumhouse n’est pas pour rien, elle s’éloigne de plus en plus des simples exploits et devient de plus en plus excitante en termes de débogage des mécaniques d’horreur. Le protagoniste Suan fait d’Octavia Spencer l’une de ses créations les plus excitantes.Le seul pouvoir surnaturel qu’il possède est d’être un mouton sans défense de seize ans parmi les loups du lycée. Ma réaction finale était comme Anne Wilkes dans une autre histoire de roi, Souffrance, Ce n’est pas surprenant. Cependant, pour les amis qu’elle cherchait désespérément, pour l’adolescence dévastée qu’elle aspirait à retrouver, Suan, maman, elle n’était pas mentalement malade ou déséquilibrée.C’est juste une victime dont le geste d’amour semble mal, comme la vengeance de Carrie White ou la vengeance de n’importe quel autre adolescent humilié, ce sensationnaliste train d’horreur, Déguisé en ennemi juré d’anciens coéquipiers.Logiquement, on sympathise avec l’assistante vétérinaire solitaire pour le désespoir noyé et son bon goût pour les sujets musicaux (quand Septembre terre, vent et feu).Oui La logique de notre sympathie sous-sol du cheval Le film prend du temps jusqu’à ce qu’il atteigne son apogée, une décision inhabituelle en ces temps rapides qui nécessite de paniquer rapidement et continuellement. ou résume l’interprétation raciale Laisse moi sortir Oui nous Avec des traits (littéraux).Un film fidèle aux éléments gothiques (maison, sous-sol, salle interdite, feu purificateur…), mené avec beaucoup de sagesse, nous donnant même ces dénouements romanesques de Buñuelde abîme de passion (ou de cette, C’est encore une autre histoire d’amour) toucherait son cœur, même avec un couteau propre.
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