Critique du nouveau film de Yuasa Yaming « Lu Yue The Wall »
Une critique de Lu Over the Wall (Yoake tsugeru Rû no uta), le nouveau film d’animation de Masaki Yuasa (créateur de « Night is Short », Walk on Girl). Il sort en salles le 31 mai 2018.
réalisateur japonais Yuasa Masaki et Reiko YoshidaBien qu’il ait commencé sa carrière dans les années 90, il n’a jamais cessé de participer, depuis le début de sa carrière, il a été impliqué dans des séries à succès telles que Chen Xin, Playboy de l’espace, Samurai Champloo et même, temps de l’aventurequi combine depuis le début des années 2000 animation épisodique et production de longs métrages.
exister Lu sur le murnous inscrivant dans une empreinte personnelle bien distincte, où différents styles se côtoient, qui n’est pas sans rappeler les dessins animés américains des années 30 (ça rappelle Popeye Oui Félix le chat) jusqu’à Ponyo sur la falaisegénial Miyazakiet bien sûr à travers la série susmentionnée, il a également un excellent accompagnement.
Le film se déroule dans une baie du Japon occupée par une montagne massive qui sépare l’humble village de pêcheurs de la terrifiante « Mermaid Island ». Kay y habite, et un garçon de 14 ans traverse un moment délicat : la séparation d’avec ses parents.
Son seul passe-temps et moyen de sortir de cette situation est de télécharger ses compositions musicales sur Internet. Un jour, deux amis de sa classe, Kuno et Yuho, l’ont invité à monter un groupe avec eux. Kai va alors découvrir une créature surnaturelle qui va le révolutionner : Lou la Petite Sirène. Ce nouvel ami sera un élément clé pour exprimer son affection et tourner des pages pour les jeunes.
Lu Over the Wall – Galerie de photos (8 images)
Il y a deux éléments clés Film européenRegardez le mur : musique Muramatsu Takayuki et couleur. Les lignes fines, la palette de couleurs variées, tirant sur les tons verts, sont en accord avec le message d’ambiance fort et plein de rythme du film.Parce que si quelque chose est clair, c’est ça film d’animation Il nous invite à protéger la nature et, au passage, à ne plus regarder nos nombrils. Ce n’est pas « Hakuna Matata » mais « la lutte pour changer ce que vous n’aimez pas » et surtout « bouger ». Tout suit le rythme qui marque une bande son importante et intéressante.
Meilleure série sur DVD et Blu-ray
En revanche, ce n’est pas la première fois que Yuasa utilise cette ressource, mais le caractère surréaliste de la proposition la rend particulièrement efficace : le corps est complètement déformé par les vibrations de la musique, et les personnages sont dans une hyper- Manière exagérée qui encourage les tendances anime pour laisser déborder les émotions.
Cela rend le film peut-être trop enfantin, mais il est clairement attrayant pour les enfants… la question est : ne vont-ils pas se perdre dans un film plein de leur propre mythologie ? Les petits comprendront-ils ces tendres remontées à temps ?
Pour un adulte, le protagoniste torturé peut sembler cliché et certains aspects du film peuvent sembler trop répétitifs. La bonne nouvelle est qu’il frôle le surréalisme à plusieurs reprises, surprenant à chaque fois et vous gardant sur vos gardes.
Par curiosité, les histoires que Yuasa crée dans ses films sont souvent interconnectées : La nuit est courte, allons-y filletrois amis de Lu sur le mur Ils ne font qu’apparaître.
Le dernier emploi de Yuasa était réalisateur diable homme pleurnichard, basé sur le manga « Devil Man » de Nagai, est une série de dix épisodes qui est sortie en salles au Japon en janvier et n’a rien à voir avec le style ou le ton du film. Comme déjà évoqué dans notre test de Devilman Crybaby sur Netflix, cela nous marque.Polyvalent est le mot qui définit le mieux ce créateur, qui s’est complètement éloigné des tendances imposées par des films influents comme celui-ci. votre nom personne voix silencieuse Prenez une douche pour au moins vous rafraîchir l’esprit.