Critique de « C’est la main de Dieu »
Netflix
direction: Paul Sorrentin distribuer: Filippo Scotti, Toni Servillo, Teresa Saponangelo, Marlon Joubert, Luisa Ranieri et Renato Carpentieri titre original: C’est la main de Dieu nation: Italie an: 2021 date de sortie: 12 mars 2021 le sexe: drame scénario: Paul Sorrentin la photographie: Daria D’Antonio résumé: Il raconte l’histoire de la douleur et de la libération d’un jeune homme à Naples, en Italie. Nous sommes dans les années 1980 et Fabietto Schisa, 17 ans, n’est rien de plus qu’un adolescent italien maladroit qui essaie de trouver sa place, sinon un formidable voisin de famille qui aime la vie, la malice et l’ingérence dans les relations complexes du monde. Mais quelques petites choses vont tout changer. D’un côté, l’arrivée triomphale d’une légende sportive sacrée à Naples : Maradona, l’icône du football à succès qui a fasciné Fabieto et toute la ville assiégée, leur faisant ressentir un malaise qui semblait jusqu’alors impossible à une fierté possible. D’autre part, un incroyable accident va détruire la vie de Fabieto et marquer son avenir. Apparemment sauvé par Maradona, touché par le hasard ou par la main de Dieu, Fabieto se débat avec la nature du destin, la confusion de la perte et la liberté enivrante d’être en vie.
Mieux encore : il dégage une compréhension des différentes manières d’être et de ressentir.
Le pire de tout : certaines personnes pensent que la testostérone et l’humanisme sont antithétiques.
croire encore C’est la main de Dieu C’est un chef-d’œuvre, et je me demande si son acceptation ne se limite pas à montrer les événements que le cinéaste lui-même a subis. Je parle de la douleur, du traumatisme qui crée l’identité et du véritable traumatisme qui se cache derrière la naissance de son regard créatif ; pas de la revisite délicieuse et consciemment agréable qui est associée à la « marque Sorrentino ».
Dire qu’on a affaire à un bon film ne me suffit pas, mais quand je lis quelque part, concentrant l’éloge sur les prétendues vertus de la catharsis autobiographique et dévoilant le mystère du créateur d’intimité, il me semble aussi passer à côté.C’est un film sublime, non pas parce que son auteur (premièrement) raconte de manière plus sobre (seconde) comment il est devenu orphelin, et (troisième), par rapport à d’autres époques, il a une plus grande appréciation du désir surréaliste moins, mais parce que En raison de son intrigue particulière, l’impressionnisme, le chaos cartésien, l’extrême complexité de la formule culte lyrique, Enfin, son efficacité à biopsier des sociétés et des générations entières est admirable.
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