criminel et décent
direction: Thaddeus O’Sullivan
distribuer: Helen Baxendale, Kevin Spacey, Peter Mullan, Stephen Dillane, Linda Fiorentino, Colin Farrell
Titre en VO : criminel décent ordinaire
Pays de citoyenneté: Irlande, Royaume-Uni, Allemagne, États-Unis an: 2000 point final: 93 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Gérald Stanbridge la photographie: Andrew Dunn la musique: Damon Alban
sommaire: Dans le Dublin moderne, Michael Lynch (Kevin Spacey) est un voleur très populaire qui est amoureux de ses deux femmes, Christine (Linda Fiorentino) et Leigh Sarah (Helen Baxendale) et leurs enfants continuent de se rebeller contre les autorités. Le policier Noel Quigley (Stephen Dillane) connaît plus de succès, son estime de soi grandit et il est déterminé à mettre fin à sa carrière.
la revue
Le film capte les ombres de la mémoire récente du général, une version brillante des aventures du criminel irlandais Martin Cahill filmées il y a quelques années par un John Boorman dysfonctionnel. Dans cette guerre, les films de Thaddeus O’Sullivan sont tombés à plat. C’est un divertissement plutôt médiocre, tourné avec l’éclectisme éclectique typique des films d’aujourd’hui, recherchant plus un léger sourire qu’une analyse plus riche des personnages et des environnements mouvants qu’il dépeint. Si la plus grande objection au film de Boorman est une légère inclination vers le côté sans-abri de l’histoire, de l’avis d’O’Sullivan, cette inclination est éhontée. Bien sûr, le personnage de Cahill, ici appelé Michael Lynch, est séduisant, d’autant plus à cause de l’ambiguïté de son comportement, comme le voit mon collègue et ami de longue date Manolo Marinero Et se contredit pas à cause de sa sympathie. Joué par Kevin Spacey (toujours excellent), son côté plus cynique grandit. En raison de la présentation hâtive, l’enchaînement des événements narratifs disparaît. Le récit de « Crime and Decent » est délibérément saccadé, ce qui conduit à de nombreux détails de l’histoire. Les femmes avec qui Cahill partage sa vie n’ont pas d’entité propre, même si l’une d’entre elles est incarnée par la renversante Linda Fiorentino, défendant un personnage qui existe à peine. Les liens du voleur généreux avec le système judiciaire et l’IRA n’ont pas non plus eu leur poids dans le scénario filmé par Boorman. Et, alors que le film est apprécié pour son caractère unique thématique et sa mission claire de divertissement, son but dans l’existence n’est pas bien compris. >> Pour les amateurs d’histoires plus ou moins vraies. Le meilleur : Le casting, en particulier Kevin Spacey et Linda Fiorentino. Le pire : la farce et les tendances manichéennes.
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