crime grave
direction: église alexandre
distribuer: Guillermo Toledo, Monica Cervera, Luis Varela, Fernando Tejero, Kira Miro, Enrique Velen, Javier Gutierrez, Javier Gutierrez, Rosario Pardo, Eduardo Gomez
Titre en VO : crime grave
Pays de citoyenneté: Espagne an: année 2004 Date de sortie: 22-10-2004 point final: 103 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Alex de la Iglesia, Jorge Greca Cevarria la photographie: José Moreno la musique: Bains de roche
sommaire: Rafael (Guillermo Toledo) est un beau mec au rayon dames d’un grand magasin. Elégant, frivole et interprète naturel, il aspire à devenir directeur d’usine. Mais cette place a été attribuée au vétéran Don Antonio (Luis Varela) dans la catégorie messieurs. Au cours d’une altercation, Rafael assassine par inadvertance son nouveau patron, un crime découvert par Lourdes (Monica Cervera), la moins gracieuse de ses collègues. Piégé par une perfide extorsion sexuelle, un Raphaël désespéré trouvera une issue.Date de sortie : 22 octobre 2004
la revue
Tout comme « Le désordre dans les grands magasins » de Frank Tashlin, l’action de la nouvelle comédie très divertissante d’Álex de la Iglesia se déroule dans l’une de ses scènes à grande échelle. L’une des grandes surfaces est celle où les citoyens mettent leurs cartes de crédit de manière rigide à crédit. Mais le protagoniste de ce crime de dyslexie n’est pas un abruti comme Jerry Lewis, mais le contraire : un employé modèle qui aspire à être un directeur d’usine, confiant, macho et distingué. La description du personnage se fait à la première personne, le plaçant dans son environnement à travers des séquences brillantes, et lui-même fait des commentaires devant la caméra comme s’il n’y avait personne d’autre. C’est une idée qui correspond à la définition du protagoniste, qui n’a d’autre intérêt que lui-même. Une fois les rôles définis, De la Iglesia et son co-scénariste habituel Gerry Cachevarria ont habilement utilisé des indices pour continuer à présenter le conflit putatif du film : Guillermo Toledo peut-il réussir à renverser les vendeurs de barbiers vétérans (récupéré Luis Varela, mieux connu sous le nom de « Escala en Hi- Fi » à la télévision des années 1960) luttant pour le leadership de l’usine ? Bon voyou, il use de ses talents de séducteur et d’une stratégie astucieuse pour lui faire gagner. Mais l’idiot a perdu son empire du jour au lendemain et est tombé dans la toile d’un autre personnage moins scrupuleux que lui, et jusque-là, les scénaristes sont sagement restés dans le noir. Alors l’avenir de notre héroïne est pris en charge par un vilain livre, follement amoureuse de cet imbécile, elle est tellement intelligente et capricieuse qu’elle est même capable de changer de genre de films, en commençant par la comédie déjantée, avec des notes sociologiques jusqu’à la comédie noire. De la Iglesia a ainsi créé l’un des personnages les plus grotesques qui est devenu sa signature. Il l’a confiée à la muse de Ramón Salazar, Mónica Cervera, qui a fait preuve d’un talent extraordinaire. Cette fille sera à Goya, et en toute justice. Guillermo Toledo, défendant une superstar qui est passée de la victoire à l’écrasement, du contrôle à la folie, a été parfait. Il y a aussi l’excellent travail d’Enrique Villén et de Varela susmentionné, qui transforme le méchant en démon gardien pour ceux qui veulent lol 90 minutes. >> Le meilleur : le rythme insensé du récit et sa superbe production. >> Le pire : Un acteur très populaire que je n’aimais pas du tout.
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