crime au paradis
direction: Jean Becker
distribuer: Jacques Villers, Josien Barasco, André Dussorier, Suzanne Furlong
Titre en VO : crime au paradis
Pays de citoyenneté: France an: 2000 date de sortie: 01-11-2002 période: 90 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Jean Becker, Sébastien Japriso la photographie: Jean-Marie Deroux musique: Pierre Bachelet
résumé: Jojo et sa femme n’en pouvaient plus. Un jour, Jojo a été horrifié de voir le célèbre avocat Maurice Jacquard célébrer son 25e acquittement en regardant la télévision. Incapable de supporter plus longtemps son mariage, il sort avec Jacquard, lui annonçant qu’il a tué sa femme.
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En 1951, Sacha Guitry passe le procès judiciaire coopérativiste avec plus de peine que de gloire et retrouve la gloire dans ses diverses activités de création (scénariste, metteur en scène, écrivain, cinéaste) , qui crée le film « Poison » adapté au génie d’un acteur charmant comme Michèle Simon. Gitrie lui-même fait référence au film en se référant au théâtre, et compte tenu de la façon dont il a construit les boiseries spirituelles dramatiques (je ne sais pas pour le film original, en revanche, il n’est pas montré en Espagne), n’a d’autre choix que d’accepter : « Poison », judicieusement écrit par l’un des grands hommes du roman policier français, Sébastien Japrisot, car ce « crime au paradis » dégage un drame que Gitri chérit tant. Imagination, et son sens de l’humour bourdonnant, il est venu commettre un crime drame, une comédie des genres. Le fait que Jean Becker ait choisi de refaire le personnage en question semble être motivé par une logique nostalgique qui a dominé son retour tardif en tant que réalisateur : ¿ la criminalité… et La fortune ? de vivre, son dernier film, part du classicisme de la scène, quoique ¿½ la criminalité… Il lui manque l’air poétique que le film affiche parfois. Mais ce qui pousse Becker à choisir un film qui correspond à sa vision des choses, c’est que si Githrie et Japriso lui permettent de faire quelque chose, c’est de construire l’histoire autour des acteurs qui font merveille sous ses ordres : L’acteur, commence par l’étonnant Jacques Villeret et son visage indescriptiblement normal, et s’achève avec le dernier lycée (par contre, revoir la vieille institutrice Suzanne Furlong bien des années plus tard (Suzanne Flon, c’est super), construire le film, c’est plus que l’intrigue elle-même, rassis, traversant anciens lieux ordinaires, dont beaucoup sont déconnectés des sensibilités contemporaines. >> Pour les amateurs de films français classiques. >> MEILLEUR : Tout le travail du casting. >> Le pire : l’air désespérément rassis du film.
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