chose
direction: Andrés Muschietti
distribuer: Bill Skarsgard, Jaden Lieberch, Nicholas Hamilton, Jonson Jacobs, Jack Glazer, Finn Wolfhard, Jeremy Ray Taylor, Wyah Olef
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2017 Date de sortie: 08-09-2017 point final: 135 le sexe: peur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Gary Dauberman, Chase Palmer la photographie: Chung Hoon Chung
sommaire: Il raconte l’histoire d’un groupe de sept garçons connus comme des perdants qui sont terrifiés par un clown qu’ils appellent « ça » qui est capable de se nourrir de leurs peurs et de prendre différentes formes, comme un homme nommé « Ça » le clown dansant de Pennywise qui traque les ballons des enfants. La nouvelle adaptation cinématographique sera divisée en deux parties, le premier film devant être présenté en septembre 2017.
la revue
Le meilleur : Portraits de l’adolescence, ses désirs et ses peurs
Scénario du pire : la musique est trop anticipée et stressée
Il y a quatre ans, Mom (2013) révélait Andy Muschietti, un réalisateur au style visuel singulier et à la narration efficace et segmentée, capable d’exprimer avec dynamisme les clichés de l’horreur et de les présenter de manière dérangeante, mais sans les changer radicalement ni faire un ardoise. Ce n’est pas non plus nécessaire : ses mains et son bon œil peuvent créer des tensions et contrôler le tempo de l’intrigue, ce qui suffit à faire gagner la partie. C’est pourquoi il ressemble au réalisateur idéal pour « It », une adaptation de l’un des romans les plus célèbres de Stephen King, arrivant dans des salles bénies par l’auteur lui-même, après des années de travail et de changement par son équipe responsable.
Le film bénéficie du travail et du style de Muschietti, qui déplace habilement l’intrigue vers les années 80 (plein de clins d’œil aux fans) Et a réussi à inventer une histoire terrifiante, malgré les horribles accusations de Pennywise d’originaux littéraires en dehors de la première scène et à des moments précis. Mais là où ça se démarque vraiment, c’est le deuxième film qui l’inclut.car D’un côté, on a un film d’horreur – classique, traditionnel, capable – et de l’autre, une version sombre de « On Me » (R. Reiner, 1986), qui est une véritable référence pour le film, même si le fait que de nombreux téléspectateurs penseront à la série Netflix Stranger Things (Finn Wolfhard fait partie de deux acteurs aide également, même si ce qui ressort vraiment est Sophia Lillis et son look de Molly Ringwald). Ici, Muschietti se retrouve le portraitiste de l’adolescence, le portraitiste qui a forgé des amitiés indestructibles, et les désirs et les peurs qui finalement nous définissent en tant qu’êtres humains, et il est directement connecté à l’esprit de l’œuvre de King : Le monde des adultes – Cruauté, abus , indifférent – comme un vrai monstre.
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