cheval et homme
direction: Benoît Erlingson
distribuer: Ingvar E. Sigurdsson, Charlotte Boving, Steinn Ármann Magnússon, Helgi Björnsson
Titre en VO : cheval et homme
Pays de citoyenneté: Islande an: 2013 date de sortie: 27/06/2014 période: 85 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Benoît Erlingson la photographie: Bergstein Björgolfsson musique: David Thor Johnson
résumé: « Horse and Man » raconte l’histoire de la marque laissée par un homme sur un cheval, et de la marque laissée par un cheval sur un homme. Plusieurs histoires s’y mêlent. Ils ont tous parlé des luttes de la vie des centaures dans ce monde perdu. Son sujet est un récit classique de la lutte entre l’homme et la nature, un récit classique des efforts de l’homme pour exploiter les pouvoirs animaux de la nature pour le gain… ou la damnation.
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Le plus : L’odeur du terroir.
Le pire de tout : c’est probablement inoffensif.
Récompensé dans divers festivals (Rec de Tarragona, San Sebastián) et nominé pour un Oscar islandais, le premier roman de Benedikt Erlingsson explore les relations complexes entre l’homme et le cheval, qui sont plus ou moins dans un même cadre. De petites communautés rurales islandaises dispersées coexistent harmonieusement dans le cadre d’un paysage époustouflant en toile de fond, agrémenté d’une photo digne des meilleurs National Geographic. Film épisodique à la veine littéraire affirmée, au sens laconique du dialogue et à la puissance lyrique indéniable, entrecoupé d’humour local (souvent très blanc, mais peint en noir), il s’organise en anecdotes, légendes locales ou Compendium des commérages du voisin, leur dénouement , comme « Lost » (et un hommage à « L’Empire contre-attaque »), nous regarde en gros plan avec des yeux de cheval : à travers le regard noble des animaux, la bêtise humaine nue. Ainsi, le sens profond peut être deviné, même s’il se plaint dans une langue que nous ne comprenons pas entièrement logiquement. N’a rien à voir avec le home cinéma du film classique de cheval modèle « Dark Horse » (Carol Ballard, 1979), mais aussi avec « War Horse » (Steven Spielberg, 2011), « Horse and Man » est finalement devenu ce que nous attendions, un divertissement délicieux, finalement inoffensif, pour ceux qui aiment vivre en harmonie avec les plus beaux paysages.
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