chasseur de rêves
direction: Laurent Kasdan
distribuer: Thomas Jane, Jason Lee, Timothy Olyphant, Morgan Freeman, Tom Sizemore
Titre en VO : attrapeur de rêves
Pays de citoyenneté: utiliser an: Année 2003 Date de sortie: 16/04/2003 point final: 136 le sexe: excellent Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: William Goldman Lawrence Kasdan la photographie: John Seale la musique: James Newton Howard
sommaire: Il y a vingt ans, Jones, Henry, Pete et Beaver formaient un groupe d’amis inséparables. Sa rencontre avec Dudit, un garçon déficient mental qu’ils ont sauvé d’un passage à tabac, va changer sa vie car chacun d’eux développe un talent surnaturel qui les unira. Maintenant dans la trentaine, quatre meilleurs amis (Jason Lee, Thomas Jane, Damian Lewis et Timothy Olyphant) se sont réunis pour un week-end dans une cabane dans les bois. Lors d’une tempête, une force extraterrestre atterrit et veut envahir le monde.
la revue
Les fans de Stephen King ont de la chance. Non seulement cette dernière adaptation cinématographique de l’œuvre du Seigneur de l’horreur est une adaptation très correcte de l’un de ses derniers romans, « Dream Chaser », mais c’est aussi une adaptation de son propre univers vedette en général. Les cocktails sont servis par un barman presque aussi diabolique que celui de The Shining qui rend fou Jack Nicholson. Lawrence Kasdan est soutenu par l’Actors Gallery qui a même réussi à rendre son personnage crédible, avec le Britannique Damian Lewis dans le légendaire William Goldman Fort de son talent littéraire, il tient à donner aux histoires humanité, humour et une certaine psychologie (pas cher, bien sûr). Le résultat final est pur roi, à tel point qu’il considère déjà « Dream Catcher », malgré son besoin de liberté, comme l’un des meilleurs films inspirés de son travail. La mauvaise nouvelle est que puisque nous ne sommes plus tellement fans de King, « El Cazador de Sueños » a trop d’arômes de déjà-vu. Il n’y a absolument aucun art de composition subtil qui mélange et secoue tous les éléments de composition de Gold qui sont eux-mêmes des éléments de la grande tradition fantastique et de science-fiction de toute vie, trop prévisible et trop évidente. Nous avons déjà vu tout cela auparavant, et même si cela ne fonctionne pas bien, c’est plus court, plus rapide et plus amusant. Parce que, malgré sa prétention, ça reste un putain de film sur les Martiens, un film sur les monstres, pur et simple. Et, il y a 20 ans, ces films ont été réalisés par Carpenter, Romero, Hooper, Fred Dekker, Chuck Russell, et bien d’autres. Ils sont une demi-heure plus courts, prétentieux et doublent le plaisir. Pour les fans de Stephen King. Le meilleur : les monstres sont cool. Le pire : vous le comprenez parfaitement.
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