C’est ainsi que ‘Cantabrico’ a été filmé dans les belles montagnes
notre aventure nature
‘Cantabrique’ est un résultat direct de ce que nous avons appris, et nous pouvons l’améliorer plus tard « Guadalquivir » (2013).Joaquín Gutiérrez Acha, réalisateur de deux documentaires, souligne son engagement à découvrir les gens qui ne la connaissent pas
La richesse naturelle que nous avons dans notre propre pays. Le producteur et éditeur des deux jeux, José María Morales, a confirmé une idée : J’ai passé 17 ans à faire découvrir au public la beauté de la nature qui nous entoure
spectaculairement‘Cantabrique’ C’est toujours un film d’aventure, l’ours brun est le personnage principal et les autres animaux sont secondaires.
une longue attente
Le film raconte la vie (luttes quotidiennes, survie) des 400 km de vie (luttes quotidiennes, survie) qui composent les monts Cantabriques, y compris sa topographie, sa faune et sa floreMorales a continué. Un an c’est en fait deux ansGutiérrez Acha précise : Vivre dans ces endroits pendant deux ans, suivre des loups, espérer voir des ours, avoir la chance de photographier des femelles allaitant leurs petits… il y a des jours où vous revenez et n’obtenez pas ce que vous voulez. Et il y a toujours un scénario préalable, une volonté d’intention, pas d’improvisation.Si vous deviez monter une caméra sous l’eau et filmer pendant 500 heures pour obtenir 6 secondes de saumonEh bien, c’est fait, ont dit les producteurs.
Deux ans en 100 minutes
Nous avons construit quatre saisons, mais pas tellement l’été, pour encadrer l’action du filmassure aux réalisateurs et scénaristes : S’il est difficile de tourner, il est encore plus difficile de décider ce qu’il faut retenir dans le montage final par la suite. Mais il est clair pour nous que la bataille entre les ours et les loups, la montée du saumon et d’autres espèces fascinantes doivent être le rythme du film. C’est une histoire de survie très intéressante, rien à envier à la fiction.Bien sûr, ils vont « Ours » (Jean-Jacques Arnault, 1988), Et malgré tout, nous avons quelque chose en communPour JM Morales, Le plus important est de fournir un produit de qualité qui n’a pas de jalousie des autres style. Et, en fait, ce n’est pas le cas.Par exemple, notre budget (2 millions d’euros) est Moonlight (Barry Jenkins, 2016), lauréat de l’Oscar du meilleur film.
La dernière technologie
Nous faisons tout ce qu’il faut.En ce qui concerne les dernières technologies, tous les meilleurs services sont pour Cantabrique, Morales a expliqué : Si le dernier modèle apparaît dans l’appareil photo, il sera acheté.Nous avons tourné en 5K et fait pour le prochain projet (un documentaire ambitieux sur Dehesa), Je veux le faire en 8KGutierrez Acha a ajouté : Appareils photo hyperrapides, drones, stabilisateurs d’hélicoptère, photographie en accéléré… quel autre genre peut se vanter d’avoir une telle chose ? Et il s’agit d’éduquer le public, de divertir et d’explorer la nature.
influence
Depuis que j’ai coproduit et distribué « Les Nomades du Vent » (2000), rappelle Morales, J’entretiens de très bonnes relations avec Jacques Perrin et les documentaires qu’il a réalisés, et bien sûr ils ont marqué où nous voulions aller, et les longs métrages de la BBC comme « Terre » ou « Planète bleue ». Tout, avec notre voix, notre écosystème. Le réalisateur a conclu : C’est ma vie et c’est ce que j’aime. J’espère que les téléspectateurs prendront le temps de cette fenêtre pour voir le monde ici, de l’autre côté de notre ville. Et ils sont aussi tombés amoureux.
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