Case 507
direction: Enrique Urbizu
distribuer: Antonio Resnes, José Coronado, Goya Toledo, Daphné Fernandez, Juan Fernandez, Hector Colom
Titre en VO : Case 507
Pays de citoyenneté: Espagne an: année 2002 date de sortie: 23-08-2002 période: 112 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Enrique Urbizu, Michel Garztambide la photographie: Karl Guth musique: Mario De Benito
résumé: Modesto Pardo (Antonio Resines), directeur d’une agence bancaire dans une petite ville de la Costa del Sol, en plus d’être victime d’un vol, tombe par hasard sur l’un des coffres-forts ¿ le 507¿ Dans certains des documents, sa fille (Daphne Fernandez) est décédée dans un incendie il y a de nombreuses années. Sa femme (Miriam Montilla) est dans le coma et le voleur est en fuite, et il décide de se venger. Entrez dans le monde corrompu de l’ancien chef de la police municipale Rafael (Jose Coronado) : ses liens avec la mafia internationale, sa vie et celle de sa petite amie alcoolique (Goya Toledo), tout dépend de ces documents compromis.
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Enrique Urbizu reste un humble tireur d’élite. Alors que de nombreux jeunes veulent devenir de grands écrivains grâce à leurs premiers courts métrages, l’expérience et les réalisations n’ont pas aidé Urbizu à sortir de son poste de travailleur de la série B très apprécié. Maintenant, il a montré qu’il est possible de réussir et de faire un film qui a un look ferme et qui parvient à rendre le genre thriller et policier du cinéma espagnol crédible, sérieux, impressionné. Un thriller avec vol, corruption politique, mensonges et meurtre sans action en tant que protagoniste, permettant à la tension accumulée et à une concaténation détaillée d’événements de prendre le dessus sur les effets choquants habituels et les images explosives. En d’autres termes, Urbizu parcourt avec confiance le chemin entre Don Siegel et Jean-Pierre Melville, rendant cette langue sèche et laconique, un peu distante et tout à fait attrayante, qui est la raison d’une intrigue inhabituelle, Des acteurs comme l’extrêmement dur José Coronado, qui supporter ce gars sans sourciller. Le banquier Modesto (son nom n’est pas accidentel), avec une vie naïve et ordonnée, entre involontairement dans un monde souterrain pervers qui ne le laissera pas indemne, tandis que l’Espagne de l’extorsion massive émerge, la côte de Gilygiles, Les traces sont abondantes. Il n’y a pas de folklore, bien sûr, assez effrayant. Urbizu et son co-auteur Michel Gaztambide rendent difficile le discernement des choses globales à partir d’expériences personnelles et humbles aux détails ou aux phrases dévastatrices (une perle utilisée exclusivement dans le journalisme), tout en soulevant des questions qui sont loin de la réalité d’aujourd’hui. Ils retracent le sombre parcours d’un héros anonyme frappé par la ligne floue entre le bien et le mal. >> Pour les non-croyants qui ne croient pas aux thrillers espagnols sérieux et réalistes. Le meilleur : Le visage menaçant de Jose Coronado. Scénario du pire : coïncidence excessive qui déclenche l’intrigue.
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