bon club païen
direction: Luis Segura
distribuer: Fele Martinez, Jordi Vilches, Hovik Keuchkerian, Adrian Lastra, Albert Ribalta
Titre en VO : bon club païen
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2017 date de sortie: 28-03-2018 période: 85 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Lluís Segura, Enric Pardo, Ingride Santos, Sara Alquézar la photographie: Mikel Progens musique: Mike Meyer
résumé: Quatre amis d’enfance, tous mariés, se retrouvent vingt ans plus tard lors d’un dîner à l’ancienne. Entre rires et ivresse, ils finissent par avouer qu’ils aiment leurs femmes, mais qu’ils n’en veulent plus. Ils ont décidé de créer un club de triche pour faire sortir leurs femmes.
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Le meilleur de tous : des tentatives de flirt douloureuses et amusantes
Pire encore : sa modestie peut jouer contre lui.
Bien qu’il passe de la sainteté plus vulgaire de Barcelone intellectualisée à la périphérie de L’Hospitalet, bien qu’il passe de la longue masturbation et de la malédiction parfumée de Bukowski d’Antonioni à une comédie de paille ivre, il n’y a pas de José María Il y a trop de différences entre « Wine » de Nunes Night » (1966) et « The Good Pagan Club » de Lluís Segura. La frustration de toute une génération perdue (passant littéralement de bar en bar, d’absurde en absurde) prend la forme d’un drame errant dans le film de Nunes, et dans cette comédie en osier de fabrication américaine (il n’est pas difficile d’y remarquer le sage enseignements des frères Farrelly et le travail immature de la troupe Adam Sandler) Il revêt le masque de l’humour le plus austère, le plus comique et le plus explicite de la douleur de ses personnages, dont il prend le masque de la convention sociale.
A travers la structure du faux reportage, et une série de témoignages, comme la face B du célèbre bordel de la route aux rayons X de Bergman, « El club de los bien infieles » est fondé sur la magnifique « Carte blanche » (2011) de The cité Peter et Bobby Farrelly (le maître joué par Adrian Lastra se référant au grand guide produit par Richard Jenkins) l’ont adapté pour convenir à la médiocrité nationale ridicule. Dans leur voyage de tentative de flirt, dans une nuit marquée par le chagrin le plus sexy, les protagonistes machos à la Peter Parnes reproduisent l’anti-héros refoulé de la comédie celtique des années 60 et 70.Le casting du film de Lluís Segura répond aux inoubliables Landa, López Vázquez, Gómez Bur, Menéndez… tous des comédiens de haut niveau. Personne ne devrait manquer cette comédie.
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