balle de match
direction: Woody Allen
distribuer: Scarlett Johansson, Jonathan Rhys Meyers, Emily Mortimer, Brian Cox, Matthew Goode, Penelope Winton, James Nesbitt, Cole Lyn Salmon
Titre en VO : balle de match
Pays de citoyenneté: ROYAUME-UNI an: 2005 Date de sortie: 04-11-2005 point final: 123 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Woody Allen la photographie: Remy Adfalacine
sommaire: Chris Wilton (Jonathan Rhys Meyers), ancien champion de tennis irlandais aux débuts modestes, devient son entraîneur et se lie d’amitié avec le riche Tom Hewitt (Matthew Goode). Sa sœur cadette, la délicate Chloe Hewitt (Emily Mortimer), tombe amoureuse de lui. Mais Wilton a une passion imparable pour la sexy Nora Rice (Scarlett Johansson), une jeune Américaine qui travaille dur pour devenir actrice à Londres et qui est fiancée à Tom. Bien qu’il soit marié à Chloé, la rencontre de Chris avec Nora est torride, tandis que son statut économique et social continue d’augmenter grâce à la faveur de son beau-père.Date de sortie : 4 novembre 2005
la revue
Les films de Woody Allen appellent à un changement de cap. Loin de New York, Match Point l’affronte avec une ambiance londonienne et un nouveau casting, mais sans rien lâcher. Ce n’est pas la première fois que le réalisateur du mystère du meurtre de Manhattan s’attaque au genre policier, et son dernier film recrée certains des meilleurs moments de crime et de délit. Sa structure est aussi bien loin de l’idée géniale que son dernier film conduirait plus tard à un paradoxe. La première impression de « Match Point » est cependant celle d’une œuvre mature qui nourrit la virtuosité d’une poignée de cinéastes capables de réguler leurs émotions par de simples dialogues ou de subtils mouvements de caméra. Épisode 1: Le film d’Allen s’ouvre sur un trope de tennis sur la possibilité de passer d’un hors-spectacle amical d’un proverbe / comédie de Rohmer à un complot complexe et mesquin au meilleur d’Hitchcock. En cours de route, des échos de « A Place Under the Sun » se sont fait écho. Tel le protagoniste d’un film de George Stevens, l’homme d’Allen côtoie une dame de la haute société alors qu’il met sa petite amie enceinte, tout comme l’homme du roman de Patricia Highsmith n’hésite pas à recourir au mensonge et au meurtre pour s’installer sur une échelle sociale cela ne lui appartient pas. Dans ce cas, ce n’est pas un hasard si le sérieux tragique de l’opéra remplace la bande sonore habituelle basée sur le jazz dans les films d’Allen. Épisode 2: La transformation de Match Point de sitcom en drame passionné en complot criminel est subtile mais irréversible. Allen utilise la complicité du public pour gagner sa confiance dans un échange de couple apparemment sans conséquence. Pris au piège de ce jeu, il s’engage alors dans une ruelle de plus en plus sombre, et soudain, il n’y a plus d’issue. Comme dans tout sport, il doit y avoir un perdant en matchpoint, et toute stratégie est valable pour obtenir une victoire qui ne peut être obtenue que lorsque l’adversaire est complètement anéanti. La différence est que, dans ce cas, ce qui a atterri n’est rien de plus qu’un code moral qui prévaut dans une société sans scrupules. Implacablement méchant, le film puise directement dans ce domaine moral, gelant tous les sourires au vitriol et éliminant de nombreuses inconnues sur la nature du monde dans lequel nous vivons. Match Point n’est pas un mélange des genres. Sa transition de la comédie au drame a dilué ses limites jusqu’à ce que l’assaut du film noir devienne inévitable. La merveilleuse auto-présentation du personnage de Scarlett Johansson préfigure déjà des événements futurs, lorsqu’elle demande : Qui veut être éliminé ensuite ? Plus tard, la métaphore selon laquelle le tennis peut changer le résultat d’un jeu selon qu’il atterrit d’un côté du filet ou de l’autre réapparaît également, mais, dans les deux cas, Allen remet en question les attentes des spectateurs, donc l’inverse est vrai jusqu’à ce que ces Fragments soient assemblés avec une extrême précision. Groupe 3 : Bien adapté à l’environnement et au climat de Londres, Alan s’est également trouvé bien s’entendre avec les acteurs britanniques. Jonathan Rhys Meyers est l’interprète idéal d’un personnage au bord du désespoir et de l’ambition. Son visage rappelle celui de Malcolm McDowell, mais son sadisme est encore plus froid que celui d’un protagoniste d’Orange mécanique. Hitchcock serait également ravi de contrebalancer la blonde mortelle dans l’état gracieux de Johnson. Bien avant qu’il ne soit terminé, force est de constater que quelle que soit l’issue dramatique, le film sera du côté de son chef-d’œuvre malgré toute sa finesse. Pour ceux qui croient encore qu’Allen est meilleur que lui-même.le meilleur: La première prestation du rôle de Scarlett Johansson. le pire: Chaos causé par le premier plan du film.
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