aveuglement
Netflix
direction: Suzanne Bill
distribuer: Sandra BullockJohn MalkovichSarah PaulsonDanielle MacDonaldTrevante RhodesJackie WeaverRosa Salazar
Titre en VO : boîte à oiseaux
Pays de citoyenneté: Amérique arrivéeNe pas: 2018 Date de sortie: 21-12-2018 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Eric Heather FOtoscope: Trent Reznor, Atticus Ross la musique: totino salvador
sommaire: Thriller post-apocalyptique, après une sanglante invasion extraterrestre de la Terre, une femme et ses deux enfants ont les yeux bandés et descendent une rivière pour tenter d’éviter des créatures extraterrestres. Quand quelque chose de mystérieux détruit la population mondiale, une seule chose est connue : si vous le voyez, vous vous tuerez. Mallory (Sandra Bullock) doit fuir avec ses deux enfants le long d’une rivière puissante et dangereuse vers le seul endroit qui semble offrir un refuge. Mais pour survivre, ils doivent accomplir un dangereux voyage de deux jours les yeux bandés.
Le meilleur : Sandra Bullock s’efforce de faire plus avec moins.
Le pire de tout : un changement (pas mieux) par rapport au roman original.
Condamné à expédier pour exploitation un endroit paisible, En fait ça pourrait être le contraire, puisqu’il adapte un roman paru il y a quatre ans, Boîte à oiseaux : aveugle Non seulement c’est le parfait complément de l’exercice stylisé/dans l’horreur signé John Krasinski, mais Apporte une contribution étrange et non négligeable à cet Evangile apocryphe écrit par World Cinema (World Culture) pour documenter une future génération apocalyptique. quel son, bruit, le même son, dans un endroit paisible, Ce qu’il représente est un jeu de méta-référence et de méta-langage dans le genre de l’horreur (né dans la période silencieuse, mûri dans les cris et les chuchotements), et maintenant c’est la vue, le regard et la même lumière. Marchez aveuglément dans la vie pour ne pas vous retrouver face à une entité extraterrestre dont la vision nous enlève nos pires peurs et notre culpabilité, nous forçant à nous suicider. Le gimmick n’a pas fini par être aussi intéressant pour le film que Krasinski, il a juste servi de prémisse initiale (présentant les personnages joués par Sandra Bullock et sa famille réduite), et il a généré plus d’émotion que de suspense atmosphérique. Ses intentions sont plus allégoriques : un monde, une société en effondrement, incapable de prendre ses responsabilités face à l’apocalypse. Et plus tard (dans une séquence intime claustrophobe) incapables de se regarder dans les yeux, aussi des humains survivants de l’apocalypse.
Le choix de Susanne Bier comme réalisatrice semblait le plus logique, mis à part ces tactiques bien planifiées de la très intelligente Sandra Bullock alors qu’elle entrait dans la zone à risque en tant que traductrice.Peut-être que les fans de films d’horreur ressentent une sorte de frustration quand ils le voient (ou pas, il n’y a jamais eu de meilleur mot) Boîte à oiseaux : aveugle Ce n’est pas son travail de retirer la tension de ses idées effrayantes ou d’apporter quelque chose de nouveau au sous-genre post-apocalyptique. Compréhensible. Cependant, si le même fan n’est pas réductionniste mais omnivore, il possède deux talents qu’il ne faut pas sous-estimer.Le premier à combiner le film de Bill avec des oiseaux, Alfred Hitchcock (théories sur l’origine de ces étranges créatures et leurs motivations qui nous conduisent au suicide). Le second est ce qui motive le plus Susanne Bier : le lien profond avec la culpabilité et le désespoir (apocalypse, genre) qui émerge dans l’une des œuvres d’Ingmar Bergman, moment du loup arrivée communicateur.
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