Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre
direction: Alain Chabat
distribuer: Gérard Depardieu, Christian Clavier, Monica Bellucci, Alain Chabat, Claude Richie, Gérald Damon, Jamel Debs
Titre en VO : Astérix & Obélix : La Mission Cléopâtre
Pays de citoyenneté: Allemagne, France an: année 2002 Date de sortie: 26-07-2002 point final: 107 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Alain Chabat la photographie: Laurent Durand la musique: Philippe Chaney
sommaire: Cléopâtre (Monica Bellucci) et Jules César (Alan Chabat) s’ennuient tellement que la reine d’Égypte propose un pari à l’empereur. Si elle lui prouve qu’elle est capable de construire en trois mois le plus haut palais de l’histoire de l’univers, César succombera à l’héroïsme en proclamant publiquement que les Égyptiens étaient le plus grand de tous les peuples. Sans perdre de temps, Cléopâtre décide de confier son projet pharaonique à un architecte dramatique : Numerobis (Jamel Debbouze). Numerobis se rend chez une vieille connaissance, le druide gaulois Panorámix (Claude Ricci), qui crée une potion magique au pouvoir incroyable. Panorámix promet de voyager avec Astérix (Christian Clavier) et Obélix (Gérard Depardieu) dans le désert égyptien pour cuisiner la substance, ce qui permettra aux ouvriers de Numerobis de finir leur travail à temps…
la revue
Occupant une place d’honneur sur mon étagère, dos cartonnés à côté d’autres goodies dans des vignettes signées Vázquez, Raf, Segura, ou Ibáñez, ces Gaulois proclamés sauvagement à Rome après Elizabeth Taylor Egypte L’aventure de l’aventurier a toujours été mon admiration. Pour être juste avec cette couverture qui énumère les énormes efforts du dessinateur et de ses copains, les milliers de litres d’alcool ingérés pour le bien de la bande dessinée ont conduit au manifeste des principes du celluloïd : c’est une comédie de festival d’histoire totalement alcoolisée, pétillante et pleine d’esprit ( Les tenants et les aboutissants de la politique et de l’érotisme à la cour des pharaons), mais à la fois vulgaire et bruyant comme un tourbillon (effets de potions, archéologie de la fin des temps). Alain Chabat apporte à son royaume une franchise qui a déjà pris un très bon départ : si le premier Astérix était (dans sa pure dépendance numérique au génie de F/X Pitof) Range) dans un dirge manifeste de style comique de Terrance Hill et Bud Spencer, nostalgie et farce aux dépens de Cléopâtre (et Monica Bellucci, la meilleure scène) décernée à la chanson et à la danse Bravo au spectacle, c’est superflu et déplacé des gadgets de gabacha aussi effrayants que deux heures à un quart d’heure devant Jésus-Christ. Dans cette passe de Jean Yanne (similaire à celle où Almanzor perd la batterie), l’une de ses forces réside dans le dub espagnol indirect, fourni par Chicho Ibáñez Serrador (et son génie homonyme Chicho Gordillo). J’ai vu le film en VO et il avait un public naturel, donc j’imagine que l’élégance locale serait plus proche de notre culture des pellicules dans le dub. Minute peccata : On a affaire à un étalement rafraîchissant plus gros que Tamara’s Drain, une méga-production qui valorise la BD, les lignes épaisses et le jamel devant des Depardieu et Clavier ignorants. Pour les cheveux irréguliers de Cléopâtre sur son nez. Le meilleur : son esthétique moche entre salles de concert et ventes aux enchères un, deux et trois, encore répondues. Le pire : l’interprétation de Christian Clavier était absente par intermittence.
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