annihiler
direction: Alex Guirlande
distribuer: Natalie Portman Oscar Isaac Jennifer Jason Leigh Gina Rodriguez Tessa Thompson David Giassi
Titre en VO : annihiler
Pays de citoyenneté: ROYAUME-UNI. an: 2018 date de sortie: 03-12-2018 période: 115 le sexe: excellent Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Alex Guirlande la photographie: Rob Hardy musique: Jeff Barrow, Ben Salisbury
résumé: La biologiste et ancienne soldate Lena (Natalie Portman) rejoint une mission pour enquêter sur ce qui est arrivé à son mari dans la zone X, un phénomène sinistre et mystérieux qui se propage sur les côtes américaines. Une fois à l’intérieur, l’expédition découvre un univers de paysages et de créatures mutantes, à la fois dangereuses et précieuses, qui menaceront leur vie et leur santé mentale.
critiquer
Le meilleur : des scènes d’ours effrayantes.
Pire encore : on ne peut pas le voir sur grand écran.
Il devait y avoir un grand changement dans le domaine de la distribution et de la projection de films pour qu’un film comme Annihilation, sur le papier, ait tout ce que le public alpha demandait (contenu original, héroïne forte et indépendante, dynamite, mêlant et renforçant les intrigues de différents styles génériques et budgets décents mais pas tragiques), jugés trop subversifs, dangereux et difficiles à survivre sur les circuits traditionnels, et devaient trouver un public dans l’habitat mutant de la VOD.
Il ne fait aucun doute que la couleur du patient est médiocre, mais ce n’est pas le deuxième film du réalisateur britannique Alex Garland en tant que réalisateur, qui a adapté le roman du même nom de Jeff Vander « Meer » (Ed. Destino) et confirmé son Tout pointé dans son premier « Ex Machina » (2014) : la capacité de donner à l’intrigue un puissant potentiel allégorique, mais avec sa propre transcendance non imposée, scène discrète, unique et importante et L’impulsion nécessaire de la science-fiction à l’horreur, du drame à l’action, fait de lui, peut-être, le plus Charpentier Au cours des dernières années. Ce sont de grands mots.
Film troublant, audacieux, à l’imagerie poétique et belle, « Annihilation » joue dans la ligue des réalisateurs de science-fiction — tout comme « Under the Skin » (J. Glazer, 2013) il y a quelques années –, Capacité à alterner ses puissantes charges philosophiques (origine de la vie, erreur génétique comme moteur d’évolution) avec une poussée d’adrénaline ou une ressemblance subtile à un personnage bien défini (et mieux travaillé par un quintette de premier plan) Le climax final est immense, ouvert à mille interprétations et interrogations, dont le sens de l’existence humaine.
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