ange
ange
direction: Luis Ortega
distribuer: Lorenzo Ferro, Chino Darling, Mercedes Moran, Daniel Fanego, Luis Geneco, Peter Lanzani, Cecilia Rose
Titre en VO : ange
Pays de citoyenneté: Argentine an: 2018 Date de sortie: 31-10-2018 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Luis Ortega, Rudolf Palacios, Sergio Holguin la photographie: Julien Apezteguia la musique: Simon Frangren
sommaire: Carlitos est une jeune fille de 17 ans avec une renommée de star de cinéma, des cheveux blonds bouclés et un visage de bébé. Dès son adolescence, il manifeste sa véritable vocation : être un voleur. Lorsqu’il rencontre Ramon dans sa nouvelle école, Kalitos est immédiatement attiré par lui et veut attirer son attention. Ensemble, ils embarqueront pour un voyage de découverte, d’amour et de crime. En raison de son apparence angélique, les médias ont surnommé Kalitos « l’ange de la mort ». Elle a attiré l’attention pour sa beauté et est devenue une célébrité du jour au lendemain. Au total, il aurait commis plus de quarante vols et onze homicides. Aujourd’hui, Carlos Robledo Puch est le plus ancien prisonnier de l’histoire argentine après avoir purgé 45 ans.
Le meilleur de tous : le mélange de réalité et de désir dans « Happy Heart ».
Le pire de tout : son obsession du mal peut être déroutante.
Première rencontre avec Kalitos, le voit faire une descente dans une maison, et au repos, il est sûr que tout appartient à tout le monde, c’est pourquoi il vole, directement à Henry dans One of Us (1990) Hill a fait appel. Mais le film de Luis Ortega n’est pas qu’un cocktail de références, pas seulement Martin Scorsese, Quentin Tarantino, ou encore Pedro Almodo, le coproducteur du film Watts, leur domination sur scène se manifeste de la palette au ressenti des plans : c’est une chronique narrative puissamment noire, diamétralement opposée à la condamnation sociétale, évitant toute interprétation réconfortante.
Sans jugement moral, c’est peut-être la chose la plus troublante. Dans El Ángel, il n’y a qu’une fascination pour le désir, imparable, sans censure ni culpabilité, personnifiée par l’écrasant Lorenzo Ferro, que le public ne peut s’empêcher de suivre, que ce soit parce que je veux son impudeur ici et maintenant ; ou parce que , comme le dit Ramon, le personnage de Chino Darling rappelle Marilyn Monroe.
Une leçon de cupidité dans le film populaire, évitant les clichés basés sur des événements réels, son intrigue est néanmoins enfermée dans une spirale sans famille – contrairement à « Une histoire de famille », dont Ortega donne la série raconte Une autre des plus grandes œuvres de la criminologie argentine – mais sans danse, sans fantaisie ni histoires d’amour impossibles, El Ángel finit par être une ode au rythme du rock and roll, au pouvoir éternel de la tentation du diable.
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