amour et cicatrices
direction: Lou Ye
distribuer: Tahar Rahim, Rika Yuanben, Khalil Lespert, Shao Sifan
Pays de citoyenneté: Chine, France an: 2011 date de sortie: 01-01-2014 période: 105 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Lou Ye la photographie: Yu Liwei, Liu Jie Farin
résumé: Hua, une jeune enseignante de Pékin, vient d’arriver à Paris. Exilée dans une ville inconnue, elle partage son temps entre son petit appartement et l’université, tout en étant tiraillée entre un vieil amant et sa nouvelle conquête française. Puis elle rencontre Mathieu, un jeune ouvrier fou amoureux d’elle. En raison de son désir insatiable pour son corps, il traite Hua comme un chien, et leur histoire intense est interrompue par les câlins chaleureux et les abus violents de Matthew. Lorsque Hwa décide de le quitter, elle découvre la puissance de sa toxicomanie et le rôle important qu’il a joué dans sa vie de femme.
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Le meilleur de tous : les rencontres sexuellement intenses et leurs conséquences.
Le pire : des personnages secondaires inutiles.
L’amour est destructeur, contradictoire, douloureux et oui, fascinant. L’amour en tant que quelque chose (un sentiment, une pulsion, une dépendance, une maladie ?) est difficile à expliquer. Le réalisateur chinois Lou Ye (non publié en tournée commerciale nationale) a dû se rendre en France pour tenter de trouver un sens à ces questions intemporelles et fondamentales de notre culture.Il est parti sans connaître la langue, ce qui est plus transférable au film Étrange atmosphère de confusion et d’isolement malsain en cul-de-sacYe n’a pas répondu à la question posée, mais il a inévitablement introduit le sexe dans l’équation. Cela sort si vivement et semble toujours étranger (ces silences, ces explosions violentes…) que, C’est peut-être le meilleur portrait de l’amour indescriptible décrit dans ce sombre filmSi Jacques Audiard affirme que son cœur a cessé de battre, Lou Ye (et des acteurs Audiardiens comme Taher) prophète Le protagoniste de la sécheresse Raheem) plonge dans d’autres battements de cœur plus proches du coup de fouet cervical et de la blessure pour réveiller le cœur de ce couple inhabituel et pas seulement dysfonctionnel. En effet, en dehors de ce couple, le film perd de sa complétude et de son intérêt, ou l’on pourrait imaginer ce qu’Audiard lui-même ou Roman Polanski feraient avec le même matériau (je ne sais pas). Lucubrations : je préfère merci amour et cicatrices sans intérêt, par exemple, 50 nuances de gris.
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