Amityville : Réveil
direction: Franck Calfon
distribuer: Bella Thorne, Cameron Monaghan, Mckenna Grace, Jennifer Jason Leigh, Jennifer Morrison
Titre en VO : Amityville : Réveil
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2017 date de sortie: 02-02-2018 période: 85 le sexe: horreur, horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Franck Calfon la photographie: affiche de Steven musique: Rouge-gorge
résumé: Bell et sa famille emménagent dans une nouvelle maison, mais des choses étranges commencent à se produire. Belle soupçonne sa mère de lui cacher quelque chose et découvre qu’ils ont emménagé dans une maison hantée à Amityville.
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Le meilleur : les échos religieux et maléfiques du personnage de la mère.
Le pire de tout : une panique facile.
Le Saint Graal de la (vraie) maison maudite, Amityville n’a jamais été caché, pas même dans tant de suites et de séries télévisées qu’il a engendrées, ses trucs sont moins surnaturels (c’est-à-dire) que Le micro diabolique déshumanisé qui nous entraîne irrévocablement dans le gouffre de l’enferC’est pourquoi il est si amusant de retourner dans ces chambres froides et malodorantes avec des mouches bourdonnantes et des yeux rouges qui nous regardent depuis l’abîme de la cécité.
L’éveil que présente le film de Franck Khalfoun (spécialiste de la calligraphie baroque, de la subjectivité et de la claustrophobie) n’est pas seulement la franchise elle-même (avec quelques convulsions de James Wan), ni l’éveil de son fils comateux fourni par sa mère à L’acte d’amour qui gèle le sang au mal. C’est un film d’horreur dans lequel la décadence, le péché et la décomposition que nous cachons dans le grenier ou le sous-sol s’infiltrent dans la pièce pour se manifester. Une digne sœur de ‘Amityville II : The Possession’ (D. Damiani, 1982).
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