Américain
direction: Anton Corbyn
distribuer: George Clooney, Thekla Reuten, Paul Bonacelli, Bruce Altman, Violante Placido
Titre en VO : Américain
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2010 Date de sortie: 17/09/2010 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Rowan Joff la photographie: Martin Rüch
sommaire: Jack (George Clooney) est un solitaire, un vrai maître des assassins. Le travail en Suède ne se passe pas aussi bien que les plans américains à l’étranger, et il fait comprendre à son contact Larry (Bruce Altman) que sa prochaine affectation sera la dernière. Jack déménage en Italie, se réfugie dans une petite ville et commence à aimer être loin de la mort. La Belge Mathilde (Thekla Reuten) lui a dit que sa prochaine tâche était de fabriquer des armes. Jack se retrouve à se lier d’amitié avec le prêtre de la ville, le père Benedetto (acteur de théâtre italien vétéran Paolo Bonaccelli) et à avoir une liaison avec Clara (l’actrice italienne Violante Placido). Mais en sortant de l’ombre, Jack risque de tenter le destin.
la revue
Le meilleur : La texture visuelle du film.
Le pire de tout : l’abîme vide derrière le style.
Dans le bordel de Castel del Monte, la ville où le tueur protagoniste s’est retiré, ça sonne banbora Via Patty Pravo. Les bars du quartier sont pittoresques : dès que Clooney se présente à la porte et commande non pas un Netspresso mais un Americano (la performance stellaire de l’acteur dans ce film), la radio diffuse une bande sonore. Tu vuò fa’ L’Americano, de Carolson. Lorsque Carosone ne joue pas, l’écran plasma local émet jusqu’à son heure (Sergio Leone, 1968). C’est une) idée italienne, messieurs, Anton Corbijn – tout le monde dirait européen ! – passez par les paramètres du film et b) activez simplement Américain Dans l’un des films de bande dessinée les plus involontaires que ce critique ait vu récemment.
Basé sur le roman de Martin Booth, le film suppose sans vergogne – ce qui devrait être dommage – qu’il s’agit d’un imposteur de fast-food dans une variante du thriller existentiel modèle Melville. le silence de l’homme (1967). C’est une œuvre qui affiche un goût raffiné et une maîtrise de la forme, mais son style ne sert à rien ou, plus exactement, à des mirages. frais Les preuves de Clooney sont de trop.
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