Amador
direction: Fernando Léon de Aranoa
distribuer: Magaly Solier Celso Bugallo Pietro Sibille Sonia Almarcha Fanny de Castro
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2010 Date de sortie: 08-10-2010 point final: 112 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Fernando Léon de Aranoa la photographie: Ramiro Civita la musique: Lucio Godoy
sommaire: Marcela, une jeune femme en difficulté financière, trouve un job d’été pour s’occuper d’Amador âgé alité pendant l’absence de sa famille. Il pensait voir ses problèmes résolus de cette façon, mais Amador mourut quelques jours plus tard, laissant Marcella dans une impasse. Sa mort lui a coûté un travail qu’elle ne pouvait pas se permettre… Confrontée à un difficile dilemme moral, Marcela va montrer que la mort n’arrête pas toujours la vie.
la revue
Meilleur : Magaly Solier : Elle est le film.
Pire encore : certains téléspectateurs se sont désengagés de la participation.
Si elle est analysée avec sobriété, l’œuvre cinématographique de Fernando Leon de Aranoa se caractérise par un mouvement progressif vers l’ascèse formelle et la perte d’un protagoniste collectif. Maintenant, dans une tournée admirable et aventureuse, il tourne la vis, n’abandonnant apparemment pas les rôles secondaires, mais concentrant en fait toute l’expérience sur un seul être : Marcela, une immigrée andine, la soignante d’un vieil homme, il va bientôt mourir. .
Cette encapsulation oblige Léon à faire un exercice d’imagination considérable : voir comment Marcella réussira dans la solitude et les pressions de la vie qui la poussent à des limites inhumaines. Pas tant un film sur l’immigration que le portrait d’une femme puissante et exemplaire dans le bourbier, Amador Elle déploie toutes ses stratégies, sans jamais dévier de sa composition nordique, pour établir exactement ce portrait ; autres possibilités mises à part, son intrigue est, paradoxalement, ouverte au public : c’est peut-être une comédie noire à l’italienne, mais ce n’en est pas ; être une radiographie sociale typique, mais ce n’est pas, bien que León ait raison, beaucoup plus que lundi au soleil ou promeneurqui est son film le plus politisé.
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