Alpha, le droit de tuer de Brillante Mendoza, un thriller efficace au réalisme fort
Mendoza brillant Semble se calmer avec l’âge. Avant son neuvième film, il y avait des rumeurs de violence intense et de graphismes sinistres.Le sang n’a pas encore atteint la rivière Alpha, le droit de tuer Sans doute l’un des films les moins violents réalisés par un réalisateur philippin à ce jour. Ce qui n’a pas changé, c’est son histoire simple et sa détermination à condamner ce qu’il voit, plutôt que de tourner en rond ou de faire des détours inutiles.
Plus habitué à filmer du côté de trafiquants d’êtres humains psychopathes et de ravisseurs fanatiques qui conquièrent une ville précaire, survivent au maximum à la violence, ou s’y laissent prendre, son dernier film débute par un défilé policier. Cette fois, on dirait que nous sommes du côté des gentils.
Un jeune confident, père d’une petite fille, sert le sergent Moises pour obtenir les preuves nécessaires et arrêter les marchands ambulants. Après avoir découvert la cachette du grand trafiquant de drogue Abel, les services de police de la ville, renseignement, drogue, police spéciale… ont lancé conjointement une opération conjointe de prévention du crime conformément à la politique dure du gouvernement. liés au trafic de drogue.
L’opération est réalisée selon les informations officielles et est impeccable. Oui, des dizaines de personnes sont mortes parmi les criminels (pas armés comme prévu), mais l’idée était aussi de faire comprendre que dans ce combat, les flics ne s’arrêteront pas à mi-chemin. Tout s’est bien passé, surtout le sergent Moises, qui a récupéré l’essentiel de la drogue grâce à son confident. Non, nous ne sommes pas non plus du côté des gentils cette fois.
Le brillant Mendoza a affiché son intelligence et son rythme visuel dès le début. Plans aux hommes, angles astucieux, images de différents appareils, drones… ont parfaitement réussi à créer un thriller plein de nerfs, d’énergie et de tension. Toute la première partie est une leçon de maîtrise des meilleurs films d’action, dans un festival qui semble avoir tous les genres mineurs mal définis dans sa section officielle.
Dans la deuxième partie, le cinéaste place son personnage, décrivant deux circonstances familiales et leurs motivations – la cupidité d’une part et le besoin de l’autre – après son rythme effréné, l’intensité du film diminue. Installé dans la première partie. Dénonciation impitoyable de la corruption policière qui sévit dans le pays, Brillante Mendoza, en un peu plus d’une heure et demie d’images, a le pouvoir d’amener le public au cœur de la société philippine et de créer des mouvements qui se sentent comme dans le cœur. Un thriller d’un réalisme sinistre et d’un effet incontestable.
Affiche Alpha, le droit humain de tuer
partie officielle
Qualification: Alpha, le droit de tuer. point final: 94 minutes. Orientation Par la splendide Mendoza.
distribuer: Alan Disson, Elijah Fillamore. Pays : Philippines.
sommaire: Une opération policière menée par le SWAT a arrêté un criminel nommé Abel, un passeur qui distribue de la méthamphétamine. Le sergent Moises Espino, qui était en charge de l’opération, était aidé par son confident Elijah. L’action augmente lorsque les hommes d’Abel combattent le duel SWAT entre les cabanes. Abel a tenté de s’échapper avec de l’argent et de la drogue, mais après une confrontation, il est mort, laissant les objets illégaux au sergent Espino.
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