aller en mer
direction: Alejandro Amenabal
distribuer: Javier Bardem, Belen Rueda, Lola Dunas, Mabel Rivera, Celso Bougallo, Clara Segura, Joan Dalmore, Tamar Novas, Josep Maria Pugh
Titre en VO : aller en mer
Pays de citoyenneté: Espagne an: année 2004 date de sortie: 03-09-2004 période: 125 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Alejandro Amenabal, Matteo Gill la photographie: Javier Aguirrezarobe musique: Alejandro Amenabal
résumé: Raymond Sampedro (Javier Bardem) est tétraplégique après un accident mortel en mer. Il était alité depuis trois ans et revendiquait son droit à une mort digne. Il était soutenu par un avocat (Belén Rueda) et une femme de la ville (Lola Dueñas).
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Avec seulement trois films et une maîtrise de la quintessence de l’industrie qui s’étend de la réalisation au scénario et à la musique, Amenábar a réussi à se hisser au sommet de l’industrie cinématographique espagnole, un exploit inhabituel. Voici un détail à considérer : chaque film de notre homme prend un plus grand risque, et celui qu’il a réalisé après « Les Autres », le plus grand succès du cinéma espagnol de toute son histoire, également important : rien ne fait parler d’euthanasie, ce qui ne Cela ne semble pas être au cœur du spectacle et est réalisé par des personnalités publiques comme Ramón Sampedro. Le défi qu’Amenábar relève ici l’amène à raconter d’une part l’aventure importante d’un homme qui désire la mort plus que tout, et il est condamné par un tétraplégique, ce qui fait de lui un homme inutile, oui, par une règle cérébrale inquiétante . D’autre part, pour le contraster, dans un discours à la fois subtil et ouvert, il y a d’autres choix importants, tels que Julia (Rueda), Genet (Clara Segura) et Fr (Josep Mariapo) ) et d’autres personnages incarnés dans le D’autre part, la partie la plus insolite du film est basée sur une solide description de la vie d’une famille galicienne. Le résultat est un film qui joue avec les émotions du public avec une habileté diabolique, le faisant parfois pleurer, d’autres fois sourire, et même une victoire de substitution sur un ennemi redoutable (ce que fait Pou dans le film), bien que parfois (la fin, non Notes complémentaires) Déséquilibré en raison du calcul et glisse vers la facilité : Présenter Sampedro comme un héros sans faille est bon pour l’acceptation du public, mais cela va bien avec un drame sérieux. Un film à l’étonnante compensation, dans lequel se détache un grand travail d’acteur, commençant par Baden, toujours aussi sublime, et se terminant par un bougainvillier et l’énorme Mabel Rivera, qui est de loin la plus authentique de la partie spectacle. Et confirme qu’au-delà de son faible pour plaire à tout prix au public, Amenábar est le plus puissant de sa génération de cinéastes. Pour ceux qui s’intéressent à l’euthanasie. Le plus : factures techniques, maîtrise de la narration. Le pire : certaines installations n’ont rien à voir avec la réalité de la proposition.
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