couleur de la montagne
direction: Carlos César Abelez
distribuer: Hernán Méndez Alonso, Hernán Ocampo, Norberto Sánchez, Genaro Aristizábal, Natalia Cuéllar
Titre en VO : couleur de la montagne
Pays de citoyenneté: Colombie an: 2010 date de sortie: 06-10-2011 période: 88 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Carlos César Abelez la photographie: Oscar Jiménez musique: Camilo Montilla, Oriol Caro
résumé: Manuel, Julián et Poca Luz, trois enfants de la campagne, sont unis par une amitié inséparable qui n’existe qu’à l’école. Un jour, le nouveau ballon qu’ils affectionnent tant et l’un de leurs principaux moyens d’échapper à la réalité, jouer au football finit par tomber dans un champ de mines. Le sauver deviendrait une aventure, les forçant à grandir par la force, leur faisant aimer la vie, et leur faisant comprendre que le pays qui les animait n’était pas un conte de fées, les rêves et les espoirs n’étaient que… du regard le plus propre, les histoires d’amitié des enfants.
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Meilleur: pièces de performance pour enfants.
Pire encore : les sous-titres ne nuisent pas à la compréhension des dialogues.
L’une des séquences les plus choquantes de « The Turtles Fly » (2004) est celle d’un garçon grimpant à un arbre, incapable de marcher sur la terre ferme car un champ de mines l’attend. Le nouveau venu Carlos César Arbeláez reprend cette idée puissante dans un scénario similaire – des jeux d’enfance avortés par la violence de la guerre, une habitude familiale à laquelle il faut s’habituer – dans un scénario similaire où il peut récupérer parmi un groupe d’enfants Sa balle, oui, est dans un autre champ de mines. Le football deviendra une métaphore, peut-être trop évidente, de l’aspiration à une vie normale à laquelle aspirent tous ceux qui ont grandi en temps de guerre.
Le problème ici est de voir comment une guerre secrète se prépare – entre la guérilla et l’armée, interchangeables dans leur brutalité – sans donner beaucoup d’explications sur ce qui se passe, en se mettant au niveau de l’Œil de l’Innocence, donc c’est elle nous montrant les tensions des adultes, la désintégration des communautés. Arbeláez a créé ce look exactement comme il faut, il l’a fait de manière naturelle, sans l’imposer, en s’appuyant sur les merveilleuses performances de ses enfants acteurs. Dommage qu’au final le film soit si beau que la sérénité et la beauté de l’image ne traduisent pas le déséquilibre qui secoue le chaos de ce regard.
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