étincelle de vie
Salma Hayek, épouse dans le roman de Mota
direction: église alexandre
distribuer: José Motta, Salma Hayek, Juan Luis Gallardo, Blanca Portillo, Fernando Tejero, Carolina Bon, Joaquin Clemente, Eduardo Casanova, Santiago Segura, Manuel Tarrafi, Juancho Puigobe, Antonio Garrido
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2011 date de sortie: 13-01-2012 période: 95 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Randy Feldman la photographie: Noriko de l’homme riche musique: Jeanne Valentin
résumé: Roberto, un publiciste au chômage piégé sous les ruines d’un cirque romain, pour le plus grand plaisir des médias et de lui-même, tente de gagner de l’argent. Sa femme, Louisa, arrive sur les lieux de l’accident, témoin impuissante du spectacle qui entoure son mari.
critiquer
Le plus : Une interview brutale de Joaquin Clément.
Le pire de tout : ce moment a fait Dece.
approuver, soutenir, apprécier, favoriserRicardo Aldarondo
Il est contre tout ce qu’il a (ce couple phare et le titre annonce une comédie inutile), mais dans une tournure inattendue, Álex de la Iglesia achève un film sobre et équilibré, austère mais sage. Cette fois, il n’a pas misé tous ses paris sur le gâchis final parce qu’il n’y en avait pas. Au lieu de cela, une fin dramatique parle de dignité et d’engagement personnel plutôt que de faire exploser le cirque. L’humour noir, destiné aux politiciens, aux banquiers et aux émissions de télévision impitoyables, trouve aussi son côté amical dans de multiples détails qui remodèlent continuellement la situation d’origine (un chômeur devient une émission de télévision), tandis qu’une histoire de personne normale terrifiante. La référence au « Grand Carnaval » de Billy Wilder (1951) est évidente, mais comme le souligne De la Iglesia lui-même, la distinction importe : voici la propre revendication de la victime d’être avalée par les médias qui tentent de lui sauver la vie. L’artiste né à Bilbao a évité les petites blagues de José Mota et a obtenu une performance exceptionnelle de sa part, montrant qu’il peut réussir à travers un film ouvertement commercialisé et abordable pour garder votre marque intacte.
être opposé àJody Costa
Dans les pages de « The Beast Loose » de Marcos Ordóñez, Álex de la Iglesia déplore la difficulté de briser les attentes du public pour un film surprenant dans lequel Resines tue Santiago Ramos pendant une demi-heure. « Spark of Life » est un film étonnant, et une demi-heure plus tard, l’humoriste grand public José Mota a été poignardé à la tête avec une barre de fer, le plus affreux de ses films. Un film qui se rapproche de cette prise de position radicale. Malheureusement, c’est aussi son film le moins dynamique. Dans la première partie de cette comédie noire qui perd progressivement son sarcasme jusqu’à devenir un drame professionnellement intense, de la Iglesia semble tester un record inédit de sa carrière (Voyage dans une agence kafkaïenne, Son CV persévérant et ses entretiens finaux implacables) , mais il n’a pas fallu longtemps pour que le stylo épais et irritant prévale. Les échos du 15-M semblent relever de la pure post-production, et le film met en évidence le grand thème du réalisateur en jeu : gérer la subtilité et l’ambiguïté.
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