Yves Saint Laurent
direction: Khalil Lespert
distribuer: Pierre Nini, Guillaume Gallian, Charlotte Le Bon, Laura Smet, Nicola Kinski, Ruben Alves
Titre en VO : Yves Saint Laurent
Pays de citoyenneté: France an: Année 2014 date de sortie: 19-09-2014 période: 101 le sexe: biopic Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Jacques Fieschi, Marie-Pierre Huster, Khalil Lespert la photographie: Thomas Hardmeier
résumé: Paris, 1957. À tout juste 21 ans, Yves Saint-Laurent est appelé de manière inattendue à la tête de la grande maison de couture fondée par Christian Dior, récemment décédé. Lorsque le jeune assistant présente sa première collection haute couture pour Dior, tous les regards se tournent vers lui. Lors de la parade du succès séminal, Yves Saint-Laurent rencontre Pierre Bergé, qui deviendra non seulement son partenaire, mais l’amour de sa vie. Trois ans plus tard, la société Yves Saint-Laurent est créée et devient du jour au lendemain l’une des marques de mode et de luxe les plus célèbres au monde. Mais en proie aux doutes et aux démons, Saint-Laurent finira par mener une bataille acharnée contre lui-même et contre une foule de facteurs externes dans sa tentative de renverser le monde de la mode stagnante et de devenir l’une des plus grandes icônes du XXe siècle.
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Le meilleur : Guillaume Gallian, digne de Pierre Berger
Le pire de tout : il a renoncé à l’audace.
Dommage que « Yves Saint Laurent » ne se concentre pas davantage sur le créateur révolutionnaire de la célèbre forme de couturier, une dimension qui le place plus comme un artiste visionnaire que comme un couturier à succès. Comprend quelques points de ses tortures, épiphanies et influences créatives. Certaines de ses créations les plus provocantes, en particulier les tailleurs-pantalons ou les smokings pour femmes, mettent également moins l’accent sur l’impact culturel et social, peut-être quelques conversations. Minimisant ces deux aspects de l’image et de l’œuvre d’Yves Saint Laurent au quasi-témoin, les 90% restants du film oscillent entre les éclairs réussis de la vie publique d’YSL et les clairs-obscurs de sa vie privée, notamment Ceux avec sa relation au long cours sont ses siens. associé et conjoint Pierre Berge. En ce sens, le film n’est pas aussi morbide que le documentaire « L’amour fou » (Pierre Soretton, 2010), mais il fait basculer l’échelle de la coexistence à long terme en une bascule affolante. D’un autre côté, c’est une couture formelle malheureuse pour un film sur la façon d’introduire si bien un personnage risqué et innovant dans le classicisme avec une approche aussi humble et sage. Mais on demande « Saint Laurent » de Bertrand Bonello (2014).
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