ici et là
direction: Antonio Mendès Esparza
distribuer: Lorena Guadalupe Pantaleon Vazquez, Teresa Ramirez Aguirre, Pedro de los Santos
Pays de citoyenneté: Espagne, Mexique, États-Unis an: 2012 date de sortie: 03-01-2013 période: 110 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Antonio Mendès Esparza la photographie: Babu Barasoyo
résumé:ici: Après un long séjour aux États-Unis, Pedro est retourné dans sa petite ville de Guerrero, au Mexique. Il a deux filles qu’il connaît à peine. Sa femme gardait toujours le même sourire. Après deux voyages aux États-Unis, il a économisé un peu d’argent dans l’espoir d’offrir enfin une vie meilleure à sa famille, et il a même rêvé de former un groupe de musique, les Copa Kings. Là: Les agriculteurs disent que la récolte de cette année est lucrative. Il y a aussi des emplois dans les villes à une heure de route. Cependant, les habitants savent à quel point leur vie peut être dangereuse et envisagent souvent des opportunités au nord de la frontière. Alors qu’il travaillait dans les champs, Pedro a rencontré et financé un adolescent qui rêvait d’aller en Amérique. Cet endroit semble toujours réel, presque de l’autre côté de la porte.
critiquer
Le plus : La sincérité du récit.
Le pire : ce n’est pas conçu pour un large public…
Comme souvent dans les films réalisés en marge de l’industrie, il n’y a qu’une seule façon de voir ici et là : comme un spectacle contre le cinéma mature. Ou pour le dire autrement, la caméra est éloignée du personnage pour une identification facile. Contre de grandes performances vedettes, des acteurs non professionnels. Contre clés génériques et scénarisation manuelle, improvisation. L’objection est évidente, points de suspension. Antonio Méndez Esparza, natif de Madrid qui a immigré à Trapa (Mexique) pour tourner une histoire sur les retours en arrière et les échecs, est bien conscient, d’après les images qu’il a obtenues, que Certaines des tendances du dernier et plus grand cinéma mexicain : Pedro Gonzalez-Rubio , Yulene Olaizola, Israel Cárdenas et Laura Guzmán, ce film se construit entre documentaires et fiction.
Mais si le film se distingue par son austérité irréprochable, son apparente retenue affective et sa rigueur structurelle louable, c’est le respect absolu des personnages, la manière dont ils expriment (presque) leurs sentiments ; alors qu’ils racontent leur vie, sans jamais montrer leur environnement. On doit cette belle leçon d’éthique narrative à un débutant : espérons qu’on pourra continuer à profiter de sa future créature.
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