enfant
direction: Jon Turtletaub
distribuer: Bruce Willis, Chi McBride, Emily Mortimer, Lily Tomlin, Spencer Breslin
Titre en VO : enfants disney
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2000 période: 106 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Audrey Wells la photographie: Peter Menzies Jr. musique: Marc Sherman
résumé: Russ Duritz (Bruce Willis) est un consultant en image puissant et prospère dont la vie paisible est bouleversée lorsqu’il rencontre comme par magie Rusty (Spencer Breslin), 8 ans. Rusty n’était pas content de le voir ainsi, un loser d’une quarantaine d’années sans femme ni chien. Ce garçon aidera Russ à se souvenir de ses rêves d’enfant.
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A moitié bâillant, j’ai commencé à assimiler la morale du film : ne pas nier le passé, être toujours soi-même, et ne pas trahir la puérile et inaliénable pureté personnelle. Disney a été le premier à suivre son Thirteen Concentrated Syrup, prônant l’harmonie au profit des valeurs traditionnelles, mais je le préfère cent fois plus le titre le plus ridicule d’hier (image réelle) que Jon Turtletaub soft bugs. J’espère que le dernier Turteltaub, de celui choisi pour la victoire ou le phénomène (je pleure toujours avec la chansonnette d’Eric Clapton dans la dernière scène), viendra avant ce réalisateur actuel et apathique qui vient médiocre quand ils viennent, Pas de réponse tourné correctement. « Kids (Boys) » n’a rien d’enthousiasmant, cela semble être un épisode fantomatique bien connu du voyage de Twilight au Club Megatrix. Il a beaucoup de bien : il y a des esquisses de scénarios amers, des réflexions profondes sur le chagrin d’amour, et surtout, il y a un grand acteur, Bruce Willis, qui prend le boulot très au sérieux (pas bien ?) ? ) même si vous n’avez pas de matière potable dans la bouche. Sa séquence d’ouverture, où il est présenté comme un salaud de classe, ou son duel avec le gamin (une figurine polie et peu charismatique ressuscitée Chris Farley) nous montre que Willis peut sauver même la merde la plus stupide. Stupide, car il manque le mélodrame cynique de la réécriture de l’intrigue, et le (miracle) que le réalisateur a respecté dans ses meilleures minutes : remonter le temps, la façon dont une mère mourante a failli donner une interview et se disputer avec son père. Mais même là, Turteltaub ne savait pas quoi faire, il a mis The End au mauvais moment, nous a volé notre chance de nous réconcilier, et nous a obligés à jeter une boîte de mouchoirs. Ne nous refaites plus ça, Jon, on ne vous pardonnera pas, mon ami. >> A Hérode et à ses compagnons. Le meilleur : voir Lily Tomlin en pleine forme Le pire : l’insistance de Marc Shaiman sur la musique, croyant toujours qu’il est plus intelligent que le public.
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