froid américain
direction: Philippe Noyce
distribuer: Michael Caine, Brendan Frazier, Rad Serbezja, Dolce Haiyan, Tzi Ma, Sherlock Holmes Osborne
Titre en VO : calme américain
Pays de citoyenneté: États-Unis, Allemagne an: année 2002 date de sortie: 14-03-2003 période: 118 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Christopher Hampton, Robert Shenkan la photographie: Christopher Doyle, Huu Tuan Nguyen, Dat Quang musique: Craig Amstrong
résumé: Saïgon, Vietnam. En 1952, le cynique journaliste britannique Thomas Fowler (Michael Caine) assiste passivement à la perte du contrôle français de la colonie et à l’implication des États-Unis. Avec l’arrivée d’Alden Pyle (Brandon Fraser), un Américain idéaliste désireux de sauver le monde, son indifférence disparaît. Et quelle meilleure façon de commencer votre quête que la maîtresse de Fowler, Phuong (Do Thi Hai Yen).
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Inévitablement, le pessimisme vital et moral véhiculé par Joseph L. Mankiewicz dans sa première adaptation (révisée dans l’urgence) du texte de Graham Greene est devenu aujourd’hui, dans ce vent de guerre, fanfaronnade absurde de notre temps, transformé en diatribe cinglante de la politique. Et Inhumain.La logique de l’histoire (non envisagée dans le premier film, bien qu’elle ait prévu le drame au Vietnam) plane sur le message sec de cette grande histoire d’amour lâche : un vide moral, apocalyptique, (à la fin de la nouvelle version ) En nous entraînant dans la photographie agrandie à l’infini d’un soldat regardant fixement à l’aveugle un puits sans lumière et sans rédemption, nous l’entrevoyons non seulement dans le geste d’un manipulateur indifférent et terrifiant, pour le plus grand bien, pour le plus grand bien. et dans toute gendarmerie mondiale autoproclamée. Mais le film de Noyce est plus qu’un bilan des interventionnistes américains bien intentionnés ou de ces romances politiques exotiques des Billboard Kings d’il y a des années. Les scènes d’action se terminent toujours par un duel dialectique sentimental dans un espace clos (fossé, tour), rappelant l’essence de la littérature de Grimm : la lutte, le choc des pulsions externes et internes. En théorie, la scène de pointe (le siège de Brendan Fraser) contraste fortement avec le souvenir tragique des Yankees ivres de son fils atteint de poliomyélite. Descendre à l’effrayant Saigon, revenir à l’éclat, à la santé mentale et à la sensibilité du classicisme (qui, en ce qui concerne le film, nous donne une certaine chair de poule), est un chagrin à propos de la dernière chance, de l’égoïsme et des remords supposés Mais une chronique de le cœur. Une histoire d’amour atypique et plus prenante, comme The End of Romance, où le fantôme de l’amant devient coupable, une routine monotone sans expiation possible. Pour les ombres au combat. Les meilleurs : Kane et Fraser. Pire encore : la manie de Noyce de ralentir inutilement les images.
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