petit stuart
direction: Rob Minkoff
distribuer: Geena Davis, Hugh Laurie, Jonathan Lipnicki, Julia Sweeney
Titre en VO : petit stuart
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2000 période: 84 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Gregory J. Brooker, EB White, M. Night Shyamalan la photographie: Guillaume Navarro musique: John Debney
résumé: Mme Little (Geena Davis) et Mr Little (Hugh Laurie) ont hâte de donner à George (Jonathan Lipnick) un petit frère, qui en a assez de jouer seul. C’est pourquoi ils vont à l’orphelinat avec la saine intention d’adopter un enfant. Mais ce qui les a émus, c’est une petite souris gesticulante qui aspire à la famille (Michael J. Fox a fourni la voix dans l’original). Lorsque Littles rentre à la maison, George est tellement bouleversé que son chat Snowbell (Nathan Lane dans l’original) devient jaloux. À partir de ce moment, avec la complicité d’autres chatons du quartier, comme le patron Smokey (exprimé par Chaz Palmintree), ils essaieront de le faire sortir de la maison par tous les moyens possibles.
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Stuart Little prouve une fois de plus que la donne est en train de changer dans les films pour enfants : il n’y a pas que les aventures naïves d’une souris adoptée par la famille. Un langage universel, intelligent et riche est désormais accessible aux personnes de tous âges. Premièrement, le film suppose que le luxe est normal. Les parents qui ont l’intention d’adopter un enfant, laissent l’enfant avoir un ami, voient un tas de gens ennuyeux chez les enfants de l’orphelinat, et en même temps se laissent séduire par la gentillesse, l’éducation et le charme de la petite souris à être plus humain, il n’y a pas de période d’adaptation. Tout est à l’envers : les acteurs Geena Davis et Hugh Laurie sont tous deux caricaturaux, tandis que la souris et cet adorable chat bien élevé sont étrangement humains. La diversité des positions émotionnelles correspond à la rupture des frontières techniques (acteurs, poupées et animaux bavards à la Babe dans un décor de bande dessinée multiraciale). La petite souris incomprise est tiraillée entre sa famille d’accueil et sa famille animale, échangeant des sentiments précis de jalousie, de vengeance, de solitude, d’affection ou de loyauté entre tous les personnages, humains ou non. Appréhension puérile en présence de cet être supérieur et insondable, une idée dans laquelle on verra le premier ami et sixième sens M. Night Shyamalan, qui est ici le scénariste. Stuart Little s’inspire de l’esthétique aux couleurs vives des années 50, mais il apprend aussi tous les enseignements de The Incredibly Shrinking Man, faisant du point de vue une arme essentielle pour expliquer les problèmes de chaque personnage. L’une des idées les plus heureuses est d’utiliser le modèle comme une réalité alternative, un monde parallèle évolutif, très visualisé à l’image d’un château de souris découpé dans un immeuble new-yorkais ou d’une petite voiture poursuivant Central Park dans la jungle. : La poursuite de maquettes de bateaux et de petites voitures. Le pire de tout : des références répétées à la maison comme un refuge infaillible.
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